Activité |
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Sa 21 jan. 2023
Monts Chevreuils 1749m
À venir prochainement





Di 15 jan. 2023
Formation avalanche
Cette année la partie théorique a été réalisée vendredi soir alors que les exercices sur le terrain ont eu lieu dimanche sur le terrain.
Cette formule a le mérite de pouvoir aller plus dans les détails pour la théorie car nous n’étions pas pressés par le temps et nous avons perdus moins de temps pour les exercices car les participants avaient déjà assimilés certains maniements des DVA. Les exercices à l’extérieur ont pu être concentrés sur 4h, ce qui était un réel avantage avec la météo de cette année.
C’est une vingtaine de participants qui se sont retrouvés sur la place de parc des Cerisiers alors que midi sonnait à la cloche de l’église de Lignière. La pluie venait de se transformer en neige et c’est dans une ambiance hivernale que nous sommes montés sous la crête. Là quelques bandes d’ancienne neige, juste assez, nous a permis d’entrainer la recherche DVA sur 2 postes. Dans un 3ème poste, l’encordement et les maniements de cordes ont été répétés et entrainés. Après 3 rotations tout le monde avait passé dans chaque poste et c’est bien refroidis que nous sommes redescendus pour boire un verre de vin chaud préparé par ...; merci Pierre!
Merci à tous les responsables de poste, Bertrand, Jean-Marc, Gilles, Timon, Alex, à Gilles et Isabelle pour la préparation de la partie théorique ainsi qu’à tous les participants pour la bonne humeur et la bonne marche des exercices. Nous voilà bien préparés pour cette nouvelle saison qui a déjà commencé sur les chapeaux de roue!

Lu 2 jan. 2023
Cbn Brunet | Les Capucins | Grand Laget
2 janvier, 14 personnes
ON PLANTE LE DÉCORS : aux altitudes moyennes et basses, il y a très peu ou pas de neige. Même au-dessus de 2500 m, les hauteurs de neige sont généralement inférieures aux valeurs moyennes --> CHANGEMENT DE PROGRAMME. Pour éviter de monter - et encore plus grave - redescendre à pieds de la Cabane Brunet, à mon plus grand regret j'y ai annulé notre séjour. De là, et pour trouver de la neige, nous logerons à 2473 m, au centre d’un splendide massif montagneux, sur un col à la frontière entre la Suisse et l’Italie. Et comme l'Hospice du Grand St-Bernard offre un hébergement et des repas communautaires tout au long de l’année... ce sera bon pour nous. RENDEZ-VOUS : 2.1.23 Bourg St Pierre au Bivouac Napoléon 9h pour le café. MATÉRIEL : sac à viande pour la nuit en dortoirs (possible d'en acheter sur place). Nous porterons tout durant les 2 jours, ne ressortez donc pas vos tenues de nouvel an pour les aérer, voyagez léger. POUR LE SKI : peau de phoque avec couteaux, PAS de matos haute montagne. MÉTÉO : lundi neige, soleil et nuages et reneige durant la nuit. Mardi encore un peu de neige le matin, puis soleil et renuages pour arriver à la voiture... Voilà ce qui pourra nous arriver… et une fois l’information donnée il n’y avait plus qu’à réaliser, et c’est ce que nous avons fait avec quelques variantes toujours bienvenues.
C’est par une route couverte de glace que l’on commença notre montée, et c’est avec les couteaux que l’on arriva au sommet de la première pente, équipement assez rarement utilisé à pareille saison. Après une montée à l’ombre on débouche au soleil au haut d’un couloir (Col sans nom vers 2800m) descente raide en supère condition. L’idée de passer par la Pointe de Drône et redescendre sur l’Hospice semble un peu trop optimiste et c’est à mi-distance, sur son arête que l’on prit la direction de la route du col en descendant un magnifique couloir de plusieurs centaines de mètres. Repas choucroute, messe, visite du musée et du trésor… une soirée riche en découvertes dans ce haut lieu de passage millénaire, étape incontournable de la Via Francigena, longue de plus de 3000 km entre Canterbury et Rome dont 215 en Suisse.
3 janvier, 12 personnes
Comme annoncé, les légères précipitations de la nuit ne nous motivent pas à quitter notre logis aux aurores. Sur le coup des 10 heures nous commençons notre ascension en direction du Mt Fourchon. Les repérages des meilleurs champs de neige de la veille nous incitent à modifier notre itinéraire initial, qui était de rejoindre Les Monts Telliers par le Col du Bastillon. Pas trop en avance, nous renonçons à rejoindre le sommet, de belles pentes de poudreuses sous le Pain de Sucre attirent notre attention. Du beau ski, chacun peu faire sa trace dans des pentes vierges… un vrai régal. En remontant jusqu’à la Fenêtre d’en Haut (2722) on poursuit notre ascension à la Tête de Fonteinte (2774) pour tout de même remplir le dernier des 3 critères d’une course réussie… Un sommet, un portage, une boucle !!! Nous voici à 2 descentes et une remontée de la voiture. De la belle neige encore et toujours, une remontée sportive ski au pied dans le couloir pour poursuivre de parfaire sa technique de conversions… une traversée de rivière pour compléter la gamme des expériences et le parking nous sourit déjà. La fondue 1/3, 2/3 au Tivoli à Châtel St-Denis termina ces nombreux jours de ski (2 jours pour certains, 8 pour s’autres…). Et après une nuit dans un dortoir sans ronfleurs, cette journée ne pouvait s’apparenter qu’à du bonheur.








Ve 30 déc. 2022
Pte de Barasson|Testa Grisa-Etroubles|Verbier
30 décembre, 7 personnes
Une course prévue jusqu’à la Pointe de Barasson (2962) interrompue par le mauvais temps. Rapport proportionnel donc au nombre de photos. Ce sera 4 lignes quand même…
1) Parcours modifié selon les conditions, 3×3 oblige
2) Trace sauvage pour atteindre le point 2653 des Becs Noirs, la tempête nous renvoie à la maison
3) Heureux couloir de descente saupoudré de bonne neige
4) Arrivée sous la pluie à la voiture. VOILÀ
31 décembre, 8 personnes
Testa grisa (3059). Après la pluie de la nuit on ne se faisait pas beaucoup d'illusions.... et pourtant, que des bonnes surprises et quelle bonne idée que de déjeuner aux aurores. Une belle montée sans traces, une magnifique descente également sans traces et avec en prime de la poudre, somme toute une belle journée. Merci Caroline pour l’idée du rapport.
1er janvier, 6 personnes
Comme une chanson qui se répète, pas un chat à Verbier ce premier matin de la nouvelle année. On a eu mal aux jambes, mais quelle joie de s’être levé tôt.
Après plusieurs télécabines, on arrive au Mt Gelé (3002). Une traversée et le premier portage de la journée pour arrivée à la Pointe de Chassoure (2973). Une traversée engagée suivie d’une descente sur la crête nous mène au départ de « La Banane », joli couloir assez large et encore sans trace. Le programme s’enchaîne au Mont Fort (3329) et l’on bascule sur son côté sud, le fameux Backside. Afin de profiter de la descente, nous remontons une couloir fort heureusement déjà tracé qui débouche sur le Glacier du Petit Mont Fort (3135). Itinéraire magique avec de la belle neige, des pentes faciles et vallonnées. On termine la deuxième descente de la journée en longeant le Lac de Cleuson. L’épopée se termine à Verbier au Happy hour, instant unique pour la station puisque la bière y est proposée à moitié prix…








Ma 27 déc. 2022
3 jours Ski Rando Région Bourg-St-Bernard
Jour 1
Lundi 26 décembre au soir deux éclaireurs annoncent qu’il neige à Bourg-St-Pierre. Vous y croyez, vous ? Gilles en tous cas y croit suffisamment pour motiver une petite équipe qui se retrouve à 9h le lendemain matin pour un café-croissant au Bivouac Napoléon. Magnifique, ce ciel sans nuage ! Mais les pentes à l’altitude de Bourg-Saint-Pierre sont à peine saupoudrées de blanc, inskiables, alors que plus haut le danger d’avalanche est à nouveau marqué… Va falloir composer… Gilles nous propose donc un objectif assez safe, le Col Ouest de Barasson. La Princesse des neiges nous conduit sans encombre au parking-patinoire de Bourg-Saint-Bernard d’où nous découvrons des pentes déjà bien plus blanches… On commence à y croire !
On chausse les skis et on entame la montée par la route du col. A l’Hospitalet, Gilles nous propose de quitter l’autouroute pour un itinéraire Bis, encore moins exposé, via le Plan de Tcholeire. Mais quelle bonne idée ! Qu’est-ce-qu’on est mieux là-haut que dans le trou en bas ! Les traceurs se relayent, et pour cause… c’est qu’il y en a un paquet de cette belle poudre vierge ! Mais combien ? Gilles veut en avoir le cœur net. Il sort la pelle et commence à creuser, creuser, creuser… 1 mètre !... de poudre bien homogène avant d’atteindre la première couche plus dure. Cette fois on y croit vraiment ! On peut déjà se réjouir de la descente !
Arrivés au Col, on profite du panorama mais on ne s’attarde pas trop. Y’a un peu du monde là-haut… même des curieux qui se demandent pourquoi on n’a pas suivi le tracé officiel… Réponse évasive de Gilles… (On voudrait quand-même pas que tout soit tracé quand on revient demain !?)
La descente dans la Combe de Barasson tient ses promesses, poudreuse à souhait ! On en redemande. Mais d’abord pic-nic… en deux actes… ce farceur de soleil jouant à cache-cache derrière le Mont Mort.
Requinqués, on remonte rejoindre notre itinéraire Bis du Plan de Tcholeire. On y est à nouveau tous seuls – ou presque… désolé, Monsieur Lapin, de vous avoir fait si peur ! – et les pentes repérées à l’aller sont toujours encore vierges. Qui aurait parié ce matin qu’on se ferait une telle descente ? Du pur bonheur !
Autour de la traditionnelle bière qui s’en suit, on échange nos impressions et nos photos toutes plus belles les unes que les autres. Mais chut ! Et interdiction de poster ça sur les réseaux sociaux, ça reste entre nous !
Merci Gilles d’y avoir cru malgré les webcams et prévisions peu encourageantes et de nous avoir embarqués pour cette journée cinq étoiles !
Christine
Jour 2
Malgré l’interdiction de divulguer nos géniales photos d’hier, les randonneurs loquaces ont fait des émules et le parking de Bourg-Saint-Bernard regorge de voitures. Peu importe, Gilles nous oriente vers le Col Sud de Menouve. Personne, pas de lapin en vue, seuls les pylônes de la défunte remontée mécanique entachent le paysage. Les ouvreurs se succèdent dans l’ombre et tracent jusqu’au col dans une neige irrégulière, dure, cartonnée.
Récompense au col; l’Italie nous offre soleil et pente jouissive. Nous avalons 400 mètres de dénivelé en courbes magiques, danses élégantes et ski extatique. La jouissance ouvrant l’appétit, les pique-niques sont extraits des sacs à dos et nourrissent les bienheureux dans un décor de rêve. Valérie immortalise les portraits avant la montée sur le Col Sud de Menouve.
Aïe, aïe: la descente sur le Plan de Tcholeire n’est pas à la hauteur du spectacle. Dans une neige successivement dure, cartonnée ou lourde, nous proposons des courbes improbables avec des allures de pantins désarticulés. Qu’importe, nous apprenons l’humilité face à la nature. L’arrivée sur le chemin menant au parking de Bourg-Saint-Bernard s’avère délicate pour le pouce de Gilles qui prend une mauvaise direction.
L’étape suivante nous mène à la bière et chacun peut conter ses exploits illustrés par des photos.
Merci à Gilles des choix judicieux et du reste. Nous te tenons les (le?) pouces.
Jour 3
Col du Gd St Bernard – Grande Chenalette – Champignon
En ce 3ème jour dans la région du St-Bernard, le parking presque vide de l’ancienne station de ski (fermée en 2010) nous rappelle que les prévisions météo ne sont pas terribles. Pourtant, le soleil brille sur les sommets et c’est avec le cœur chaud mais les mains froides que nous attaquons la montée au col. Le large chemin, damé par le passage de centaines de randonneurs à ski, n’oppose aucune résistance et nous permet même de papoter côte à côte. Plus par curiosité que par nécessité, nous nous attablons à l’hospice pour une carafe de tisane bien chaude, qui nous sera finalement offerte par la maison. Valérie tombe sous le charme des lieux, et décide d’y rester pour « s’imprégner d’avantage de l’Esprit Saint ».
Le mont Mort prévu initialement n’étant pas très engageant, nous nous tournons vers la Grande Chenalette, au nord du col. Sa face au soleil nous offre une belle trace, une température printanière et un panorama sur des montagnes plus enneigées que les nôtres. La neige est moins épaisse que l’année passée à la même période, et elle est molle, et c’est comme ça qu’on l’aime pour franchir le petit passage raide qui permet de gravir le sommet.
Pas le temps de pique-niquer, c’est Nico qui mène la cadence. Il n’y a pas non plus vraiment de place pour ça, ni pour la traditionnelle photo de groupe. Et puis, ce que tout le monde veut, c’est attaquer la descente sur la face est, direction « le Champignon ». Et on y trouvera de tout dans cette descente, des bosses, des couloirs, du carton qui casse, du carton qui tient et des taches de poudreuse toute douce.
C’est une Valérie boiteuse mais lumineuse qui nous attend à Bourg St-Bernard. Nous repartons enchantés par l’expérience de ces 3 jours, des images pleins le yeux et le natel. C’était inespéré, et nous remercions Gilles de toujours y croire !







Sa 10 déc. 2022
Sortie vieux skis
Ils étaient tous à l’heure, 7h29 sonnantes : c’est pas parce que j’ai 1 minute d’avance que je suis en retard, non mais sans blague !
Voyage tranquille… mais quelle déception, tous les bistrots et hôtels du Simmental se la jouent ce dimanche matin en Ruhetag. Du coup, petite approche sur la route des locaux jusqu’au bout du déneigement et là : bien heureux ceux qui avaient un 4x4 et les chaines sous les spatules. Quelques 111 minutes plus tard, apéro Biberli ressorti de la boîte et saucisson aux aguets. Pour cette raison, notre ami Pierre, telle une panthère des neiges sous un soleil radieux s’est mis à tracer dans 50 cm de poudreuse et là, nous pouvons vous le dire, c’est métal… quelques rotations plus tard, le sommet est à portée, tout près, comme un prêt-à-porter. Le bonheur est devant nous, première descente de la journée avec et sans peaux, selon les envies. Encore quelques conversions pour ajouter notre deuxième sommet à la Liste. Puis, le dessert sous la forme d’une de pente parfois un peu trop douce mais dans une neige toujours légère et vierge. Et à ce moment-là, imaginez-vous la surprise ? Fritz, adossé à son chalet et déjà présent sur les lieux depuis plusieurs jours nous invite pour un thé ou un café. Top Fritz, quelle hospitalité.
Comme quoi, cette année, la sortie vieux skis s’est convertie en une balade pour jeunes rideuses genre Fat 130 mm au patin… sensations de flottaison exceptionnelles.
Et pour rompre la confidentialité, sachez que si le Niedehorn culmine à 2078 mUM, le Lueglespitz s’affranchi d’un bon 2028. Pour la stat : 1099m, 5h59 et 29 secondes, 14.14 km.








Je 8 déc. 2022
St-Nicolas / Les Prés d'Orvin - chalet Sunneschyn
Record de participation pour la sortie St-Nicolas aux Prés-d’Orvin : 19 clubistes se sont retrouvés au chalet Sunneschyn pour y partager un bon moment de convivialité. Les jeudistes actifs sont montés à pied depuis Orvin et tout le monde s’est retrouvé pour l’apéro sur la terrasse du chalet. Vin chaud et petit blanc ont ravi les papilles alors que les discussions allaient bon train. Pierre a dû remettre plusieurs fois du bois sur le feu avant que chacun amène son morceau de viande à griller.
Bien que le soleil était de la partie, nous avons mangé à l’intérieur où Daisy avait allumé, en début de matinée, un bon feu.
A 15 heures, les marcheurs se sont mis en route pour rejoindre Orvin, les ainés sont repartis en voiture à La Neuveville et les organisatrices de la journée ont remis en ordre le chalet avant de rentrer, elles aussi, dans leurs pénates.
Je crois que chacun a apprécié cette occasion de partager des souvenirs avec les amis qui, pour des raisons de santé, ne peuvent plus participer aux courses des Jeudistes. Nous avons déjà pris rendez-vous pour l’année prochaine. Un grand merci à Pierre, Ariane, Daisy, Martine pour leur collaboration.







Sa 29 oct. 2022
Course d'orientation intersociété
Un petit nombre de participants-es s’est donné rendez-vous ce dernier samedi d’octobre vers 9h00 à l’ancien stand de tir de Prêles. Au menu un petit (7kils) et un grand (12kils) parcours d’orientation à travers la forêt de Prêles – Bois du Louvien, Châtillon, La Neuve Métairie
Au retour soupe à la courge et apéritif attendaient les participants-es de toutes tailles, âges et formes physique. La braise à disposition a pu contribuer à calmer les estomacs les plus affamés Les classements importaient peu. Un temps des plus cléments et voilà une belle matinée passée dans la forêt.
Le CAS remercie en particulier La Sportive de Prêles pour l’organisation et surtout la magnifique préparation du parcours. Le prochain rendez-vous est fixé au 25 octobre 2023, en espérant que les organisateurs maintiennent cette belle épreuve, malgré une participation qui aurait mérité un succès bien plus important,

Lu 5 sept. 2022
semaine de randonnées Chamonix
Se sont 8 personnes qui seretrouvent à Chamonix pour passer 5 jour de randonnées, avec à la clé une météo clémente,
1) ballade le long de du petit balcon sud descente sur Chamonix pour réserver nos places pour les Aiguilles du Midi
2)Aiguilles du Midi et traversée de Plan de L’Aiguille à Montenvers le paysage nous fait oublier la compagnie bruyante des américains
3)le Brévent traversée du grand Balcon sud jusqu’à La Flégère jolie rando à travers les champs de myrtilles et de rocaille
4)le nid d’aigle en petit train et pour dégourdir les jambes tour de Prarion depuis le col de la Voza avec au passage un bolet pour Danièle
la semaine s’est déroulée dans une ambiance conviviale agrémentée de belles tranches de rigolade. Merci aux participants
Se sont 8 personnes qui seretrouvent à C ...
Je 25 août 2022
Tufelsschlucht
Tufelsschlucht (les gorges du Diable)
Nous voilà partis pour une belle et chaude journée. Après le café incontournable, nous nous engageons dans les gorges du Diable (Tufelsschlucht), rien de terrifiant juste de la fraîcheur. Après une heure de marche, arrêt boisson avant de continuer la course. Après une dernière grimpette, nous nous installons pour le pique-nique, qui est interrompu par des chevaux qui en veulent à nos sandwichs, taboulé et autre. Nous allons plus loin pour finir tranquillement notre repas. Peu après nous arrivons à Bluemlismatt où une boisson est la bienvenue. Nous entamons la descente en partie dans la forêt, mais pour arriver à la gare d’Egerkingen, il nous faut marcher sous un soleil de plomb. Merci à tous.








Sa 20 août 2022
Via des dames anglaises (+via têtes aux chamois)
Voilà, c’est fait...
Après avoir été repoussée à plusieurs reprises, aux cours des dernières années, cette fois-ci c’était la bonne.
Départ de la Neuveville à 8:00 le samedi 27 août, dans une seule voiture, nous sommes 4.
Après un bon café aux Diablerets, nous entamons notre ascension vers la cabane Pierredar par le chemin du Drudy, escarpé, mais splendide, pour atteindre notre destination après 4 heures d’effort.
Arrivés en milieu d’après-midi, il a fallut ensuite occuper le reste de notre journée jusqu’au souper. On aurait pu boire des bières, mais je ne suis pas sûr qu’on aurait profité du souper… Alors, on a préféré trouver un jeu de cartes, et c’était au SKIPBO qu’on a occupé notre temps. Si vous ne connaissez pas, ça vaut la peine!
La nuit fut un tant soi peu agitée, il faut dire que c’était sans compter l’arrivée de 6 personnes, du sexe féminin, qui avaient décidé de fêter, comme il se devait, les 40 ans de l’une d’entr’elles. De mon côté, peut-être par naïveté, je pensais qu’il n’y avaient que les garçons pour parler des filles comme cela… mais c’est pas vrai, les filles sont pires en parlant des garçons.
Bon, après quand même quelques petites heures de sommeil et un petit déjeuner, nous attaquons notre deuxième journée, celle de la via des dames anglaises.
On commence par une petite heure de marche pour nous rendre au pied de la via, puis crapahutons autour des dames Anglaises pour enfin longer la dernière arête au dessus du glacier de Prapio et rejoindre le col du même nom. Superbe via, très naturelle.
Le reste se fait sur le chemin facile qui longe jusqu’au bâtiment de Botta.
Un dernier petit tour sur la passerelle avant de descendre en téléférique jusqu’au col du Pillon.
Encore une bonne heure et demie de marche jusqu’aux Diablerets pour enfin arriver à 18 heures à la Neuveville.
Félicitaions à toute l’équipe qui m’a accompagné, Sonia, Alexandre et Didier. Un beau weekend.








Je 21 juil. 2022
Videmanette
Videmanette 2151m
4 participants au départ du Landeron arrêt au Moulin pour le café, avant le parc de la télécabine Rougemont
C’est parti nous longeons la Sarine sur 400m avant d’attaquer la première montée entre forêt et pâturage de là, la pente devient très soutenue une dernière partie légèrement ombragée. Pause pour recharger avant la partie finale. A peine reparti nous apercevons les bouquetins qui se prélasse sur les rochers dernier tronçon entre pierrier et un câble pour basculer sur un sentier qui nous amènent au sommet de la télécabine. Après avoir profité du paysage nous attaquons la descente également bien raide entre chemin caillouteux et chemin forestier glissant, nous retrouvons le point de départ.
Merci pour votre participation à cette belle journée.








Lu 11 juil. 2022
Randonnée dans le Centovalli (TI)
Chef de course |
Treuthardt Eric |
10 personnes |
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Albrecht Ursula |
Jordi Elisabeth |
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Dellenbach Daisy |
Kneuss Martine |
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Gur Danielle |
Rubin Monique |
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Haldi Françoise |
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Jaberg Roger |
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Jauss Ariane |
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Compte rendu
· Déroulement de la course · Météo · Remarques · Guide · …
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Après deux renvois successifs, COVID oblige, notre semaine a pu enfin avoir lieu, malgré de nombreuses embûches : problème d’hébergement, chemins interdits et canicule. Nous avons pour la plupart, rallié le Tessin en train par l’ancienne ligne du Gothard, un long périple. Nous avons pris nos quartiers dans l’après-midi à l’auberge de montagne de CampoRasa que nous avons atteint par téléphérique, et profité de découvrir ce village charmant, le seul sans voitures de tout le Tessin, En raison des fermetures de chemins (suite aux orages des semaines précédentes) et de la chaleur excessive, nous avons dû revoir nos ambitions à la baisse et avons profité de la fraîcheur bienvenue des torrents. Le deuxième jour, nous avons découvert Terra Vecchia et Bordei, deux magnifiques villages restaurés par la Fondation Terra Vecchia. Nous avons prolongé notre balade en direction du Gridone, le plus haut sommet de la région, situé entre les Centovalli et le Lac Majeur. Nous nous sommes arrêtés à mi-chemin dans une vasque du torrent, bienvenue pour rafraîchir les organismes éprouvés par la chaleur. Après avoir visité la Nevera de Bordei (un frigo naturel), nous sommes rentrés à Rasa par un autre chemin. Mercredi, nous sommes redescendus en téléphérique dans la vallée et, par une télécabine nous sommes montés en face jusqu’au Monte Comino. Nous avons poursuivi à pied jusqu’à la Madonna della Segna et, par un sentier très escarpé, nous avons atteint le Pizzin (1510 m) et, pour les plus hardis, le Pianasc (1643 m). Retour au Monte Comino, puis à Rasa. Le jeudi, nous sommes retournés au Monte Comino et avons effectué la rude et longue descente sur Mosogno, dans le Val Onsernone et, avant de remonter jusqu’à la route pour prendre le bus, nous avons largement profité d’une fraîche baignade dans le torrent Isorno. Retour à Rasa en bus jusqu’à Intragna, en train jusqu’à Verdasio et en téléphérique. Vendredi, changement de programme. Au lieu d’effectuer la longue montée prévue au Pizzo Leone, nous décidons de reprendre le téléphérique jusqu’à Verdasio, de poursuivre en train jusqu’à Ponte Brolla et d’effectuer une balade de deux heures le long de la Maggia jusqu’à la passerelle qui conduit à Avegno. En chemin : pique-nique et baignade dans la rivière. Retour à Ponte Brolla en bus et retour à Rasa par Intragna. Samedi, le retour s’effectue en ordre dispersé. Trois participants décident de rentrer dès le matin à La Neuveville en train par le Gothard. Deux autres participantes commencent la matinée par une baignade à Ponte Brolla, tandis que les autres prennent le train jusqu’à Corcapolo et remontent par la Via del Mercato sur Costa, Pila et redescendent sur Intragna, où nous nous retrouvons à six pour prendre un excellent repas à la terrasse du restaurant Stazione. Retour à La Neuveville, les unes en voiture, les autres en train par les Centovalli et Domodossola. A noter les conditions météorologiques excellentes bien que caniculaires et l’ambiance particulièrement conviviale. |
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Lieu et date |
Signature |
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La Neuveville, le 2 août 2022 |
Eric Treuthardt |








Sa 2 juil. 2022
Cours glacier - escalade - sauvetage
Un beau weekend s’annonce…
La soif d’apprendre motive 18 d’entre nous à se lever tôt ce samedi matin…
Et c’est déjà aux aurores, à 5:45, que nous nous retrouvons pour la majeur partie, à la gare de la Neuveville, afin d’embarquer dans le train direction Saas-Grund. Après avoir récupéré quelques participants à Bienne, puis une dernière ainsi que nos deux guides instructeurs à Viège, nous entamons, après avoir régler partiellement quelques petits problèmes de billets de transport, notre ultime montée vers Hohsaas.
Après un dernier café, c’est vers 10:30, après avoir formé deux groupes, que nous nous déplaçons vers le pied du glacier du Weissmies, pour faire notre première série d’exercices.
Nous passons la journée à progresser sur un glacier plein de crevasses, pour entraîner: les techniques d’encordement sur glacier; le passage de crevasses; la progression avec des crampons; la retenue lors de chute d’un membre d’une cordée; l’auto-sauvetage; les encrages (lunules, vis à glace), les moulages simples, autrichiens, et même un mouflage permettant un « septuplage » de la force (autant dire que la victime monte très lentement, mais facilement) pour extraire une victime d’une crevasse.
Même si une grande partie d’entre nous a déjà vu, voire revu ces techniques, les répéter n’est pas un luxe (et je parle d’expérience, hein Alain?), en plus, ces techniques, ou les outils pour les réaliser évoluent constamment. Qui d’autre qu’un professionnel de la montagne pourrait mieux nous les montrer.
Nous terminons la journée vers 17:00 autour d’une bonne bière à la cabane Hohsaas.
Après un bon souper et une bonne nuit (pour ceux qui ont dormi), nous attaquons la deuxième journée de formation après le déjeuner, à 7:00.
De nouveau en deux groupes, une partie commencera sa journée en entrainant les techniques de progression et d’assurage sur une arête rocheuse. Par cordée de deux nous progresserons en contrôlant la longueur de nos cordes; pratiquerons la descente en rappel, etc.
Les guides nous démontrerons l’utilisation de Friends pour l’assurage et les points d’ancrage, sans oublier le raboutage de cordes, même de différents diamètres.
Pendant que le premier groupe s’entraine à la progression en arête, le deuxième groupe pratique un dernier exercice, grandeur nature, pour ressortir une victime d’une magnifique crevasse au pied du Lagginhorn.
C’est là qu’on se rend compte qu’un sauvetage peut vite devenir très compliqué en situation réelle.
La journée d’exercices se termine, encore une fois, comme d’habitude, systématiquement, devant une bonne bière avant d’entamer notre chemin de retour vers la Neuveville, que nous atteindrons, pour une partie du trajet, en première classe (ces chefs de courses, ils sont en or, je vous dis pas), à 20:00
Merci à nos deux instructeurs, Jean-François Savary, guide, et Hervé Bolliger, aspirant-guide.
Merci à tous les participants pour votre enthousiasme et votre bonne humeur. Ce weekend a été fort instructif, mais restons humbles, bien que moins ignorants, nous ne sommes toujours pas des experts, donc restons prudents en montagne.








Me 29 juin. 2022
Villars-sur-Ollon
Villars-sur-Ollon, 29 juin, 10h06 : un petit groupe de dames jeudistes se retrouvent devant la gare. Après le traditionnel café, nous montons avec le train Villars-Col de Bretaye jusqu’à l’arrêt Les Bouquetins où se situe la Maison de la Montagne, notre hébergement pour la nuit prochaine. Après avoir déposé nos bagages, nous partons pour la balade du jour : Col de Bretaye, lac des Chavonnes, col de l’Encrene et retour à la Maison de la Montagne. Une boucle de 10,5 km. Une jolie randonnée durant laquelle nous admirons de nombreuses espèces de fleurs alpines en pleine floraison.
Le lendemain matin, le train nous ramène à Villars puis à La Barboleuse d’où un minibus nous conduit à proximité de Frience Plage, un petit plan d’eau aménagé pour la baignade et les loisirs, à proximité de l’Alpe des Chaux. Pas le temps de faire trempette, nous poursuivons notre chemin jusqu’à Solalex et retour à La Barboleuse par le sentier 46, tour des Alpes vaudoises. Après un rafraîchissement, le train Villars-Gryon-Bex redescend les 5 marcheuses arrivées par les TP à Bex d’où elles rejoignent leur domicile.
Un grand merci aux participantes à cette course dans les Préalpes vaudoises pour leur bonne humeur.








Di 26 juin. 2022
Grande Arête du Raimeux
Nous sommes 3 au départ de cette journée qui a été déplacée dans le Jura afin d’éviter un trop grand déplacement sur 1 jour.
Le temps est chargé ce dimanche matin, mais la dalle est déjà bien sèche et les dinosaures d’antan nous ayant préparés de belles marches, c’est sans peur que nous nous élevons dans la grande Dalle. Nous enchainons ensuite par la vire aux dames qui demande de la finesse et du doigté pour être parcourue élégamment.
Ensuite un tronçon d’arête se parcourt à corde tendue, comme dans les vrais itinéraires alpins. La suite est parsemée de blocs de 10-15 mètres qui s’escaladent. Nous en grimpons certains et en évitons d’autres.
Bientôt nous arrivons au pied de la Noisette où nous faisons une pause pique-nique. La suite débute par l’Escalier à poule qui est un genre d’ancêtre de la Via Ferrata puis l’arête devient effilée par endroit, mais sans difficulté technique ! Magali nous avait prévenue à midi que l’arête est encore longue et même interminable sur la fin… et deux heures plus tard, enfin, nous voici à la croisée du chemin qui redescend dans la combe du pont. Une heure de descente dans les fougères, la végétation luxuriante, sous le regard d’un chamois qui nous regarde passer sans broncher !! et nous rejoignons le début de l’arête. Une grande bière sur la terrasse du restaurant des gorges clos cette journée finalement assez longue.
Un grand merci à mes deux compagnes de cordée, Magali et Christine qui m’ont hissée dans la vire aux dames et m’ont permis de redécouvrir les lieux de mon enfance.








Je 23 juin. 2022
les marais de Habkern








Lu 13 juin. 2022
Verdun
La semaine s’annonce belle et chaude, voire tropicale puisqu’on nous annonce 35 degrés. C’est donc enthousiastes que les 10 senior(e)s inscrit(e)s s’engouffrent à Longeau dans les trois voitures qui font le voyage de la Lorraine.
Quatre heures plus tard, nous sommes à Commercy. François nous a concocté un après-midi/découverte des lieux où il a passé son enfance : château de Commercy, mairie et petit musée des carrières d’Euville puis balade dans ces mêmes carrières où son père a travaillé de longues années. Très bonne idée pour nous dégourdir les jambes! Nous apprécions de nous promener longuement dans ce lieu, désert aujourd’hui, puisque l’exploitation des carrières a cessé, tandis que notre guide nous donne des explications sur la géologie et la vie des carriers.
Notre deuxième jour commence à Jouy par une rencontre touchante et haute en couleur avec un couple qui a restauré une ferme d’antan et nous en parle l’un et l’autre avec passion.
Après cette visite, ô combien intéressante, nous nous rendons sur la butte de Montsec où s’élève le Mémorial américain. Ce promontoire nous offre un panorama magnifique sur la plaine de la Woëvre et les Hauts de Meuse.
Le site des Eparges où de violents combats se sont déroulés en 1915 est notre autre objectif de la journée. Nous accédons à la crête à pied. Le sentier est bien balisé et nous permet la découverte de cet observatoire convoité par les belligérants et des imposants cratères dus à la guerre des mines.
Mercredi, nous prenons possession de nos vélos … électriques et nous rejoignons le champ de bataille sur les hauteurs de Verdun en pédalant, avec assistance bien sûr, sauf Ariane qui, vaillante, doit, presque toute la journée, faire fonctionner sa musculature des jambes car la batterie de son vélo est défectueuse. Nous faisons plusieurs arrêts : Fort et Ossuaire de Douaumont, Mémorial avant de redescendre en ville par la nécropole nationale du Faubourg Pavé.
Autre lieu de mémoire jeudi matin : la butte de Vauquois en Argonne. Un guide passionnant nous présente les lieux aussi bien en surface où s’ouvrent de profonds cratères que sous terre où des galeries souterraines ont été le lieu de vie des soldats aussi bien français qu’allemands. La nature garde ici aussi la cicatrice des combats terrifiants qui se sont déroulés tout au long de la guerre.
L’après-midi est plus sportive. Nous descendons le cours de la Meuse en canoë. Beaucoup de discussions quant à la meilleure manière de ramer mais aussi beaucoup de rires dans un cadre bucolique. Personne n’est tombé à l’eau… aucun bateau n’a chaviré… Ce moment de détente était le bienvenu.
Vendredi, retour à Verdun et visite de la Citadelle souterraine, sans effort, puisque nous nous déplaçons en nacelles filoguidées avec un casque de réalité augmentée sur les yeux nous mettant dans la peau d’un Poilu. Par contre, pour arriver à la citadelle, une route étant barrée, il nous a fallu plus de 45’ alors que nous aurions dû l’atteindre en 10’. A cette occasion, je n’ai pas été très efficace !
Nous profitons de l’après-midi pour nous promener sur le site du village détruit de Bezonvaux. Un parcours historique aménagé à travers les emplacements des anciennes maisons évoque la vie avant la guerre. Un lieu paisible aujourd’hui, agrémenté par le chant des oiseaux!
Samedi, sur le chemin du retour, nous nous arrêtons à Nancy. Nous ne pouvions passer si près de la ville sans s’arrêter pour admirer la place Stanislas. Cela étant fait, nous rentrons en Suisse dimanche en passant par l’Alsace.






Je 2 juin. 2022
Randonnée
10 participants
Randonnée Undervelier – Lajoux
Au centre du village d’Undervelier (Haute-Sorne, district Delémont) nous empruntons un sentier bucolique grimpant en direction de Maison Blanche. Nous n’irons pas jusque-là, nous nous dirigeons sur un sentier assez raide serpentant entre prairies fleuries et forêts. Arrivés au sommet d’une petite colline, un arrêt s’impose pour nous désaltérer et admirer la vue sur la vallée de Delémont avant de redescendre par la forêt. A une bifurcation, un écriteau bien camouflé indique la direction de Saulcy. Une gorge étroite surplombée de rochers, un ruisseau dont la source est tarie, de vieux arbres parés de lichens, une biodiversité exubérante s’offre à nos yeux.
Bientôt nous atteignons une ancienne demeure du XVIIIème (pt.764) restaurée et décorée de sculptures contemporaines. De là, un long chemin quelque peu monotone nous amène au lieu-dit “Les Beusses” (pt.887). Un raidillon nous conduit vers le ravissant étang “Les Beusses”, entouré d’iris sauvages et de roseaux, habité par des couples de canards et grenouilles. A côté se trouve la cabane du Pêcheur équipée pour les marcheurs. C’est là que nous nous arrêtons pour le picnique.
Après ce moment de détente, nous gagnons le village de Lajoux, sans oublier de visiter l’église du village dont les vitraux ont été réalisés par l’artiste Coghuf. Notre rando se termine par une dernière verrée sur la terrasse du resto du village avant de reprendre le bus.
Merci à tous les participants pour ces moments de convivialité.


Sa 21 mai 2022
Rallye des sections
Samedi 21 passé, la section neuvevilloise du Club alpin organisait le rallye des sections des CAS de l’Arc jurassien. Cet évènement sportif et convivial regroupe traditionnellement chaque printemps les membres des sections Jura, Delémont, la Prévôtoise, Raimeux, Pierre-Pertuis, Chasseral et La Neuveville. Notre section aurait dû mettre sur pied cette rencontre à La Neuveville déjà en 2020, puis en 2021. Pour les raisons que l’on ne commente plus, ces éditions ont dû être annulées.
C’est donc avec un plaisir particulier que près de 50 participantes et participants se sont retrouvés au café vers 8h00 du matin à la Cave de Berne. Les organisateurs avaient proposé quatre parcours différents. Une marche le long du lac, une plus corsée jusqu’au Plateau, un tour en VTT ou de l’escalade sur la dalle du Tirage. En fin de matinée, chaque groupe s’est retrouvé à la Cave de Berne pour un apéritif musical rythmé par Nicole Thomet et son accordéon puis pour un repas en commun.
Les participants ont pu découvrir que notre région ne se résume pas à son lac. Certains en ayant bien sûr profité après coup étant donné la chaleur étouffante de ce 21 mai. Au moment de se quitter, tous les clubistes avaient le sourire et étaient satisfaits de leur journée au bord du lac, dans le Vignoble et sur les chemins du Plateau.
Parmi les participants, nous nous plaisons à relever la présence d’Hugo Weber, 88 ans, présent sur la dalle du tirage ce matin du 21 mai 2022. Il faisait partie de l’expédition de la première ascension du Dhaulagiri, septième sommet de la planète culminant à 8’167m en 1960. Quel chemin parcouru des sommets du Népal à la dalle de La Neuveville et quel bel exemple de vie.
Un grand merci aux bénévoles de La Neuveville : les responsables de parcours, les personnes en charge de l’accueil et du service et les administratifs
La section neuvevilloise du Club alpin vous souhaite une belle saison estivale dans nos magnifiques montagnes.








Je 19 mai 2022
Hauts-Geneveys- La Chaux de Fonds
Ce sont 6 participantes qui se sont retrouvées à la gare des Hauts Geneveys pour entamer la montée sur la Vue des Alpes avec quelques arrêts pour admirer les impressionnants érables, platanes et tilleuls. Une bonne pause avec un café à la buvette et nous revoilà en forme pour entamer la traversée en direction de La Chaux de Fonds, petite pause du côté du téleski de la Corbatiè