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Sa 11 nov. 2023
Bettlachstock, hêtraies et forêts primaires
Une ballade 3 saisons, dans un sanctuaire de l’UNESCO, avec une guide passionnée et passionnante.
Super sortie pour se mettre en jambes avant notre assemblée générale.








Sa 4 nov. 2023
entretien piste de Chasseral
5 chefs de course, dont le président, et 2 membres se sont retrouvés à 8h30 devant le battoir à Nods pour charger le matériel. Les 5 débrousailleuses et les 2 tronçonneuses ont ronronné durant 3 heures tout le long de la piste. Nous manquons de bras pour tirer les branches…et il faudra y retourner. La pluie et le froid nous ont frigorifiés, nous sommes prêts à affonter un hiver vigoureux ! Merci à tous, grâce à vous le tracé entretenu reste praticable pour tous les randonneurs.

Sa 28 oct. 2023
Course d'orientation intersociété
Belle matinée d’Halloween ce samedi matin dans la forêt de Prêles. Comme d’habitude, parfaite organisation de la Sportive.
Un petit et un grand pacours. Et dire qu’on croyait connaître cette forêt par coeur. Chaque année, on découvre de nouveaux coins
Foin de GPS. De la lecture de carte pure. Il faut s’habituer à la légende (blanc forêt, orange pâturage, vert forêt dense. Quel bel excercice intelectuel
E faut faire tout en même temps : Courir, consulter la carte, chercher le poste, poinçonner et trouver le chemin le plus court pour trouver le poste suivant.
Et sur le coup des midi, retour au stand. La soupe à la Courge est parfaite, l’apéro extra et la convivialité au rendez-vous
Merci encore à toute l’équipe d’organisation. La prochaine est inscrite au programme 2024 du CAS : 26 octobre
On en tremble déjà




Je 5 oct. 2023
Les gorges de la Covatannaz
Le sentier historique du sel est fermé à cause des travaux, le parcours est modifié pour que l’on profite de cette belle journée ensoleillée. Nous partons dans les gorges de la Covatannaz, puis nous nous dirigeons vers le Mont de Baulmes. Pique-nique au belvédère qui domine Baulmes et qui offre une vue magnifique sur les Aiguilles de Baulmes, le Suchet et les alpes. Arrêt café à l’auberge du Mont de Baulmes, suite de la rando en descente sur Ste-Croix, à l’entrée de la ville, on bifurque pour regagner les gorges et les voitures. Avec des participants enthousiastes, la journée a été parfaite. Merci à tous, c’est toujours sympa.








Je 28 sept. 2023
La Vy aux Moines
Encore une journée automnale réussie sur tous les points. Partis de la Neuveville avec le train de 07h02 nous voilà aussitôt rassemblés autour d’un café croissant à la Brévine. Nore petite troupe de 4 randonneuses accompagnant un homme privilégié 😉 se met en route. Nous découvrons le lac des Taillières comme un miroir reflétant les environs. Un véritable tabeau ! légèrement brumeux et doux, un climat agréable comme notre groupe. Nous poursuivons à travers les pâturages bien verts pour la saison pour nous trouver stoppé par un magnifique troupeau de vaches traversant notre chemin. Les propriétaires étaient contents de bavarder avec nous comme s’ils avaient besoin de papoter! Poursuivant notre chemin, nous voilà déjà au pique-nique, puis au point central de la Citadelle à 1212m.
Toujours sous cette harmonie bienfaisante nous progessons et descendons sur Môtiers pour reprendre notre train. La boisson bien fraiche était évidemment appréciée au 6 Communes de Môtiers





Di 24 sept. 2023
Vias Ferrata des côtes du Doubs
Deux journées de découvertes des vias ferrata de Franche-Comté. Le 15 juilllet en reconnaissance à quatre personnes et le 24 juillet en course avec quatre membres également. Participation bien modeste pour deux magnifiques journées bien sportives en conviviales dans une magnifique nature.
Vias ferrata du Mont à Ornans. Le parcours classique est AD+ à TD. Pas de soucis les clubistes neuvevillois, pratiquant l’escalade. La variante “de dessous” est côtée ED+, classée parmi les plus dures de France. Peut-être sous-estimée par certains membres ? Elle a passé oui mais pendu dans la longe de repos la plupart du temps. Pas très élégant tout ça. On reviendra s’expliquer, c’est sûr.
Puis déplacement de 30min en voiture à Nans-Sous-Sainte-Anne pour la via des Baumes du Verneau. Un peu du même topo qu’à Ornens. Une partie assez “classique” AD à D, puis la variante ED bien nommée “Peurs et tremblement”. Mieux appréhendée que celle d’Ornens, celle-ci a mieux passé.
Le troisième volet de cette journée franc-comtoise était prévu culinaire. Là franchement on a été déçu. Reçu tout d’abord fraîchement dans le bistrot du coin, on se dit qu’en ville, à Pontarlier on va s’en donner à papilles-joies. Rien de cela, on ne mange pas avant 19h00 par là. Donc arrêt pizza au retour à Fleurier dans un endroit bien sympa et un top-service
Une bien belle journée sportivo-découverte. Deux vias à découvrir pour les amateurs du genre.
PS : une pizza sera payée à celle ou celui qui parvient à parcourir le parcours ED d’Ornans sans utiliser sa longe de repos
Richard







Di 17 sept. 2023
Randonnée alpine Üssere Fisistock 2947m
Après un changement de but, dû à des fermetures de cabanes au Barrhorn, nous voilà partis pour la le Fisistock dans la région de Kandersteg.
Nous ne verrons pas l’aurore, car à 10h le soleil est déjà bien là quand nous prenons le train à la Neuveville ce dimanche.
Arrivés à Kandersteg, peu après midi, nous entamons directement la montée à la cabane Doldenhorn. Cabane que nous atteignons vers 15h.
Une cabane sympathique, gardiennée par Heidi et Fritz.
Le landemain matin quand nous nous levons, nous avons perdu le solei du jour avant. La météo annonçait que le temps devait se dégrader, certes, mais pas avant 15h. En plus des gouttes commencent déjà à nous mouiller.
Changement l’itinéraire, nous partons pour une boucle qui nous ne nous montera pas au sommet, qui soit dit en passant, est déjà couvert par des nuages.
nous resterons à plus basse altitude, mais ceci ne nous évitera pas de nous faire tremper tout au long du chemin de retour sur Kandersteg.
Arrivés à Kandersteg, toujours sous la pluie, nous sautons dans le train en gare, et après quelques petites négociations avec la contrôleuse du train, atteignons la Neuveville en milieu d'après-midi.
La course à été écourtée, mais je la replanifierai une autre fois.
Merci à Sam (Valérie), Alain, Guillaume et Jean-Claude de m’avoir accompagné dans ce périple.








Sa 2 sept. 2023
Pte de Mourti - nouvelle date
C’est en transport public que nous nous déplaçons pour ce week-end au fin fond du val d’anniviers. Les correspondances sont bonnes et après env. 4h de route nous arrivons au barrage de Moiry. Nous sommes bien contents de nous dérouiller les jambes et longeons le lac sur la rive gauche avec la vue sur les sommets qui ont revêtus une parure hivernale.Ensuite nous abordons la montée de cabane courte mais franche et arrivons vers 17:00 à la cabane de Moiry. Nous pouvons encore profiter du soleil et de la vue magnifique. La cabane est bien pleine et le niveau sonore assez élevé, entre les indigènes qui débouchent bouteilles sur bouteilles et les anglais qui commentent leurs exploits de la journée.
Le lendemain le déjeuner est fixé à 5:00 et nous sommes tout étonnés d’être tout seuls… même le gardien n’est pas réveillé. Mais bon finalement c’était très agréable de se préparer tranquillement sans être bousculé de tous côtés. Après avoir fait un petit check matériel, nous partons à la lampe de poche et arrivons bientôt sous le Pigne de Lalé. Nous nous encordons et c’est là qu’un participant remarque qu’il a oublié son piolet...mais bon rien de grave nous ne partons pas gravir une face nord… Nous traversons le glacier qui semble de plus en plus crevassé et de plus en plus bas. Nous passons à côté de la voie normale pour la Pte de Mourty et allons tenter la montée au col des Rosses qui nous permettrait de suivre l’arête sud pour atteindre le sommet. Mon souvenir de l’accès au col à l’âge de 14 ans est bien là: il y avait une pente de neige raide pour atteindre une vire qui menait facilement sur l’arête. Et bien 40 ans plus tard la neige est probablement 30-40 mètres plus basse et l’escalade de ce socle rocheux instable n’est pas aisé. Après quelques tentatives, nous décidons de rebrousser chemin et de faire le sommet par la voie normale. Là aussi l’accès à l’arête est un peu pêteux mais ça passe. L’arête encore bien blanche parsemée de gros blocs est magnifique et c’est avec beaucoup de plaisir que nous gravissons ce terrain mixte en crampons. Vers le haut l’arête se redresse un peu, puis nous arrivons sur une crête de neige qui surplombe la face nord et nous même au sommet. Nous profitons de faire une bonne pause, car la température est très agréable. Ensuite nous redescendons l’arête et retraversons le glacier cette fois dans la fournaise de midi. Timon nous quitte pour dévaler la pente au pas de course et prendre le bus de 14:10, car il a un souper à Vevey à 18:00. Nous arrivons à la cabane vers 13:30 et faisons une bonne pause avec une tournée de bière payé par Gilles, devinez pourquoi... Nous prenons ensuite bien le temps de récupérer toutes nos affaires, car on sait jamais, et abordons tranquillement la descente de cabane. La rentrée est ponctuée de plusieurs pauses: une première pause dans l’herbe au bord du lac pour attendre le premier bus, ensuite une pause-bière à Grimentz pour attendre le deuxième bus, et une troisième pause pour manger des glaces artisanales à Sierre en attendant le train. A Vièges comme souvent, le quai déborde, du coup nous nous enfilons dans un compartiment à 5 places (juste pour nous) en première classe. Cause de malchance le controleur n’est pas très flexible et malgré le charme de Caroline, nous devons changer de wagon et nous éparpiller parmi la foule des passagers. A Berne nous tentons d’attraper le S-Bahn en traversant la moitié de la gare en courant, mais malgré la réactivité de Sacha, nous le loupons de quelques secondes et devons nous rabattre sur le direct de la voie 9¾. Par contre dans ce train nous retrouvons notre place préférée avec 5 sièges et du coup aussi notre sourire. En fait nous ne l’avons jamais perdu notre sourire…, Car que veux-t-on de plus: de la bonne compagnie, une météo parfaite, de la tranquilité sur notre arête, un sommet magnifique et des tournées de bière ou de glaces à chaque changement de TP.








Sa 2 sept. 2023
Escalade
Les 19 et 20 août, l’OJ de La Neuveville a passé un chouette weekend dans les Gastlosen, secteur Réservoir en dessus du Chalet du Soldat. Vous pouvez admirer ici quelques photos.








Me 30 août 2023
Trans Swiss Trail (Emmental-Entlebuch)
J’ai espéré 2 jours sans pluie, espoir exaucé ! Peu de soleil mais une température agréable pour marcher.
Après un déplacement en transports publics et un petit café, nous étions prêts pour notre étape du jour : 13 km, 800m de montée et presque tout autant de descente. Le chemin de randonnée longe tout d’abord l’Emme puis devient nettement plus pentu. En atteignant le Pfyffer, à 1316m, le panorama est habituellement magnifique… ce jour-là, malheureusement, la Schrattenflue est quelque peu obstruée par les nuages. Après un effort supplémentaire, nous atteignons le Wachthubel, point culminant de la randonnée du jour. S’ensuit alors une descente d’environ une heure jusqu’à Schangnau.
Le lendemain, depuis le village, et après être passé par un pâturage, le Trans Swiss Trail rejoint la Junge Emme que l’on suit pendant environ une heure et demie en passant alternativement par des prairies et de petites parcelles de forêt. En chemin, un sentier didactique raconte la vie du champion de ski Beat Feuz, né à Schangnau. Nous passons par Kemmeriboden Bad mais, au grand désespoir de certains, pas le temps pour une meringue et, d’ailleurs, l’heure ne s’y prête pas ! En remontant sur l’autre versant de la montagne par des routes forestières ou empierrées, nous arrivons à Salwideli puis à Rossweid. De là, un beau sentier descend sur Sörenberg. Nous, après 5 heures de marche, nous choisissons le téléphérique qui ménage les genoux de quelques-uns et épargne un surcroît de fatigue aux autres.
Belle randonnée avec finalement 6 participants.








Je 24 août 2023
Rocher de Naye
Une bien belle journée. Le départ très matinal aura retenu quelques clubistes, plutôt portés sur la grasse matinée..., à moins qu’ils aient redouté la longueur du trajet en train: nous ne sommes finalement que six au départ.
L’expérience d’une partie de la montée par le train historique Montreux-Rochers de Naye (construit entre 1892 et 1909) est vraiment unique. Nous le prenons jusqu’à la station de Paccot, au-dessous du Col de Jaman. La balade commence par une pente très raide, suivie d’une longue traverse conduisant au col. Après un petit arrêt à la fromagerie, la course se poursuit dans une combe que nous quittons par la gauche au-dessus de la Montagne d’Amont pour atteindre le Col deBonaudon (1753 m). Nous descendons pour atteindre la passerelle qui permet d’éviter les grottes de Naye (fermée en général jusqu’à mi-juillet à cause de la neige). Nous atteignons la Grande Chaux de Naye et, au lieu de suivre le sentier qui suit le fond de la combe pour aller jusqu’à la gare, nous suivons l’arête qui conduit directement au sommet (2042 m). Après le pique-nique, nous descendons jusqu’au restaurant pour boire le café et, c’est la que tout le monde se dégonfle et nous reprenons le train pour redescendre sur Montreux. Nos vieux genoux nous en remercient car la pente est vraiment très raide.








Sa 19 août 2023
Haute Cîme
La Haute Cime – Sortie des 19 et 20 août
Récit vécu et conté par un nouveau membre du CAS, victime du fameux bizutage
Samedi matin 9h00, c’est dans la bonne humeur ainsi qu’une certaine excitation (surtout moi car c’est ma première sortie avec le CAS) que l’équipe de vaillants marcheurs s’est retrouvée dans le train en partance de Neuchâtel direction Champéry. Un trajet de 3h30 qui m’a permis de faire connaissance de Sabine, Christine, Richard, Bastien, Alain, Marcel et Stéphanie que je connaissais déjà. Arrivée à destination, nous avons tout d’abord été happé par une jolie terrasse pour y déguster une succulente tarte aux fruits.
Estomacs remplis et sacs à dos bien attachés, nous avons pris la voie en direction de la Cabane de Susanfe, 2 102 mètres, en passant par l’alpage de Bonavau. Un chemin magnifique et bien vert. Rebelotte au refuge de Bonavau, un ptit stop pour une tarte aux fruits pour Alain qui, nous l’avions bien compris, est un bec à sucre !
Nous avons repris le sentier qui nous a mené à la Cabane de Susanfe. Dortoir visité et prise de possession de notre mini couchette, nous avons pu profiter d’un apéro bien mérité. Cabane fort sympathique où nous avons très bien mangé : velouté de légumes au poivre du Tibet suivi d’un curry lentillesvertes avec riz, pour terminer avec un muffin au chocolat. Tout est particulièrement bon. La soirée s’est terminée devant la contemplation du couché de soleil.
Le glas résonna à 5h45 le dimanche matin ; il fait bon, l’air est frais mais pas froid. Les tartines, porridge, thé et café nous attendent. Toute l’équipe est bien décidée : allez on y va ! Il est 6h45, première destination le Col de Susanfe à 2 494 mètres, l’ultime étape avant l’ascension de la Haute Cime, plus haute des Dents du Midi. Arrivés au col, nous faisons une pause. Et là j’apprends 2 choses : la première : ne jamais se changer en cours de route au risque de se faire prendre en photo dans une tenue inappropriée et la deuxième : le déo 24 heures est un leurre.
C’est par un sentier raide et caillouteux, relativement sportif, quenous atteignons le sommet qui culmine à 3 257 mètres. La montée est spectaculaire et malgré les doutes que j’avais au col si j’allais y arriver et bien j’y arrive, non pas grâce à mon déo mais grâce à cette équipe encourageante et bienveillante à mon égard.
Je me sens chanceuse d’être tout là-haut. Chanceuse de pouvoir contempler tant de sommets qui nous entoure comme le Cervin, le Mont Blanc, le Grand Combin et bien d’autres que mes collègues de marche ont nommé et que je n’ai malheureusement pas retenu tant l’émotion m’avait envahie. Pour compléter ce spectacle, des gypaètes font leur apparition et viennent planner, toutes ailes déployées en face de nous. C’était juste INCROYABLE (c’était mon mot du week-end). Après s’être tous félicité pour cette ascension et pris bien des photos de groupe, des selfies, nous avons profité de ce « best point of view » pour nous sustenter.
C’est reparti pour la descente jusqu’au col par un sentier qui nettement plus facile que celui que nous avons monté. En contre-bas, la vue sur le lac de Salanfe, 1 925m, est (encore une fois) incroyable et l’appel d’y plonger est de plus en plus fort. C’est vers les 12h45 qu’Alain nous trouve un magnifique spot au bord du lac pour enfin aller nous baigner. Nous savourons pleinement ce rafraichissement très attendu car la température n’est pas des moindres ! Température de l’eau estimée à 18 degrés. C’est juste parfait.
C’est reparti avec un passage à l’auberge de Salanfe afin de remplir nos gourdes et prendre un café (dommage il n’y avait pas de tarte aux fruits). Puis nous entamons la descente sur Vent d’en Haut qui se trouve quelques 600 mètres de dénivelé plus bas. Mais on ne s’arrête pas là car à Vent d’en bas, il y a un restaurant qui propose d’excellentes gaufres. Pour faire bref nous nous sommes tous transformés en bec à sucre car nous succombons tous à la tentation.
En chemin pour la gare de Salvan, nous apprenons que c’est à Salvan que la radio a été inventé mais par un italien et non un salvanien. Je constate que ce week-end est vraiment d’une grande richesse culturelle : entre la nutrition des gypaètes, l’inventeur de la radio et aussi l’importance de manger des carottes (petit rappel pour Bastien), décorticage des looks les plus adaptés en montagne… ce fût un week-end INCROYABLEMENT exceptionnel rempli de bonnes discussions, de rires. Un IMMENSE merci à toute l’équipe, j’ai vraiment adoré et finalement, après une nuit de réflexion, je pense que je repartirais avec vous les yeux fermés.






Je 17 août 2023
Col des Pauvres Trou à l'Ours
Pont de Nant cinq clubistes, 8h40 départ en douceur en longeant l’Avançon de Nant, au pont en bois traversée du ruisseau direction le Cinglo, au pied du Trou à l’ Ours devons enlever les sacs à dos pour le passage qui est étroit aucune difficulté n’avons pas croisé l’Ours, arrivée au Cinglo pause avant de poursuivre l’ ascension, sur la crête d’ un côté des bouquetins de l’autre de magnifique vue sur la plaine, le Léman, les tours d’Ai etc. après quelques passages de pierriers, c’est le col des Pauvres, pique-nique pour ensuite attaquer la descente par le Vallon de Nant et rejoindre notre point de départ, arrêt à l’auberge pour un verre avant le retour.
Merci à vous tous pour la participation ainsi que la bonne humeur.








Di 6 août 2023
Championnat du monde d'escalade à Berne
Cinq membres du CAS La Neuveville étaient présents à la sortie “club” aux championnats du monde d’escalade en salle à Berne ce 6 août. A ce stade il est important de préciser que ces compétitions se déroulaient indoor à la la Postfinances Arena. Effectivement ce 6 août ressemblaient furieusement à un dimanche de novembre.
Les spectateurs prennent place dans le célèbre “mur” du SCB. Pas tout à fait l’ambiance des grands soirs de hockey mais tout même très convenable. Beaucoup de monde pour les demi-finales en lead du matin puis pour les finales en soirée.
L’épreuve de lead consiste à grimper le plus haut possible dans un mur deversant parsemé de prises infâmes et toutes plates, dans une durée maximale de 6min ou jusqu’à la chute ce qui est le plus souvent le cas. On constate par exemple qu’à ce niveau, les pieds du sportifs se placent, le plus souvent, au-dessus de la tête (photos). On remarque également qu’un grimpeur de ce niveau peut “récupérer” suspendu par un pied et les deux doigts dans une “prise”.
Les finales dames n’ont pas apporté de grandes surprises par rapport au classement des semi-finales avec la victoire de la japonaise Ai Mori. Chez les Messieurs, par contre, les deux premiers des demi-finales ont raté leurs finales et ont donc ainsi laissé la victoire à l’autrichien Jakob Schubert (pas le compositeur)
Au final une belle journée bernoise pour le petit groupe du CAS La Neuveville







Je 27 juil. 2023
Sigriswil







Je 6 juil. 2023
Cirque de la Consolation
Une fois de plus, il nous aura fallu improviser! Le voyage en voiture par la Chaux-de-Fonds-Morteau jusqu’à Consolation-Maisonnettes s’est déroulé très agréablement. La météo était parfaite, de même que la forme physique des participants. C’était sans compter sur l’amateurisme français. Après avoir consulté le site Internet du site et les panneaux touristiques situés à l’entrée du site, tout paraissait en ordre. Nous devions traverser le parc du monastère, tourner à droite pour ensuite passer sous les rochers de la reculée pour monter à la Roche du Prêtre. Nous avions emporté des casques car cet endroit est connu pour un léger risque de chutes de pierres. Surprise: après une demi-heure de marche, nous nous sommes trouvés face à une barrière interdisant le passage pour raison de travaux. Nous avons donc changé d’itinéraire pour monter jusqu’à un belvédère très joli aussi. De retour au monastère, après une petite glace, nous avons décidé de monter tout de même à la Roche du Prêtre par l’autre côté: joli aussi, mais un peu frustrant de ne pas avoir pu effectuer une traversée particulièrement spectaculaire en empruntant des échelles métalliques.
Participants: Daisy Dellenbach, Françoise Haldi, Pierrette et Roger Jaberg, Ariane Jauss, Martine Kneuss, Monique Rubin, Valérie Voirol




Sa 1 juil. 2023
Weissmies
Samedi, arrivée à Saas-Grund vers 11h, nous ne nous sommes pas privés d’’une pause café-croissant !
5 trailers en manque d’entraînement décident de monter à pied, + 1500m, c’est bon pour l’acclimatation. Le reste de l’équipe rejoint Hohsaas à 3137m en cabine. Nous avons besoin de préparer l’ascension de demain : réglage des crampons, et premiers pas… nœuds de huit, alouette, encordement long et court, marche encordés… une initiation qui évitera quelques soucis le lendemain.
Dimanche, réveil matinal à 3h45, copieux petit déjeuner, puis nous préparons des sacs légers, nous enfilons nos baudriers et partons éclairés par nos lampes frontales. Le jour se lève, le ciel est resté couvert durant la nuit, la neige est molle, nous sommes déjà sur le glacier du Trift. Nous suivons la trace qui serpente entre les séracs impressionnants, puis contournons d’énormes crevasses. Le ciel se dégage, un vent glacial nous fouette le visage, nous mettons une couche de plus, nous sortons les gros gants et tirons la capuche… Quelle belle ambiance de haute montagne et d’alpinisme ! Il est 8h, nous atteignons les 4017m du sommet, 1er 4000 pour Oz et Mary-Line. Nous trinquons le champagne, ça mousse. Nous nous serrons dans les bras et prenons quelques photos, des souvenirs que nous n’oublierons pas. La descente est belle aussi, en 2 heures nous rejoignons Hohsaas et ses belles tranches de gâteau aux abricots.
Bravo et merci à tous.








Me 14 juin. 2023
Dent de Vaulion
En raison de la fermeture de l’Hôtel du Mollendruz, l’objectif a dû être modifié. Nous avons donc renoncé à monter au sommet de la Dent de Vaulion.
1er jour:
à 6 participants, nous sommes allés en train jusqu’au Brassus et sommes montés à pied jusqu’au Col du Marchairuz par un sentier fort agréable (durée environ 3 heures). Après un apéro sympa sur la terrasse, nous avons passé la soirée et la nuit à l’Hôtel du Marchairuz où l’accueil a été très agréable.
2ème jour:
Vers 9 h, nous avons repris notre itinéraire en direction du Nord-Est en suivant la crête méridionale du massif du Jura, une longue et belle traversée qui nous a menés au Grand Cunay, puis au Mont Tendre, le plus haut sommet du Jura Suisse (1679 m). Après un pique-nique apprécié sous le sommet, nous sommes avons pris le café à la buvette de l’alpage, sise en contrebas. A partir de là, nous avons amorcé la très longue descente en forêt qui nous a menés à Montricher. Nous avons ensuite repris le train jusqu’à Morges et retour à La Neuveville.
La météo s’est montrée clémente, sans pluie, mais avec une brume légère mais persistante qui nous a empêchés de jouir de la vue sur le Mont Blanc.







Je 8 juin. 2023
Gasterntal / Chemin du Gurnigel / Sunnbühl
Nous étions 15 participants/participantes!
Nous nous retrouvons au bas de la station du téléphérique Sunnbühl à Eggenschwand/Kandersteg.
Après la montée de la gorge, première halte café au restaurant Waldhaus dans le Gasterntal. Puis montée assez raide jusqu'à Sunnbühl.
La flore est exceptionnelle. Les sabots de venus sont en fleurs! Nous avons de la chance!
Un petit orage nous surprend en haut du chemin Gurnigel. De ce fait, nous ne faisons pas le détour par les Arvenseeli.
Après une boisson bien méritée, descente en téléphérique à notre point de départ.
Un grand merci pour votre participation!








Je 1 juin. 2023
Pienibon
Météo au beau fixe. Nous nous retrouvons à la gare de Corgémont. Départ tranquille le long de la Suze, après 1.5 km nous prenons les pâturages pour arrivée en forêt et attaquer Schnegweggi via sur les Prés de Cortébert. Petit détour par la Cuisinière pour se désaltérer, la suite direction Pienibon entre pâturage et lisière de forêt, arrêt pic-nique avant d’attaquer la descente nous prenons par Mi-Côte, traversont le cheneau de l ‘Envers, continuons sur Cortébert et ses fontaines pour rejoindre Corgémont.
Merci à tous, que du bonheur.








Je 25 mai 2023
Jura
Une fois n’est pas coutume, nous commençons la course par une bonne descente. Pas si mal finalement, lorsque l’on sait que la première demi-heure est, en général, riche en discutions donc source de souffrance pour certains à la montée ! Nous atteignons la chapelle de St. Antonius par un petit “canyon” sauvage sortant du tracé officiel. Première pause avant d’attaquer une bonne montée; bizarre, personne ne parle! Après 3 bonnes heures de marche nous arrivons à la métairie Hinteregg où nous sommes accueilli par Martin Seiler et le bouvier suisse Barny. Le resto est officiellement fermé mais nous pouvons y entrer, commander des boissons et sortir notre pique-nique. Merci Martin ! Le retour aux voitures s’effectue par la crête avec vue sur la plaine mais malheureusement pas sur les Alpes. Nous devrons donc revenir pour admirer ce magnifique panorama ! Merci à vous tous (11 inscrits, quel plaisir pour un cdc d’avoir une pareille “tribu”) pour votre participation et votre bonne humeur et à une prochaine.








Je 11 mai 2023
Crête de la Geissflue
N’a pas eu lieu: météo
N’a pas eu lieu: météo
...Di 7 mai 2023
Rallye des sections 2023
Marianne a dû rameuter les troupes. En effet, à une semaine du rallye jurassien organisé par le CAS Delémont, elle était apparemment seule représentante de La Neuveville à la manifestation qui réunit chaque année les clubs de l’arc jurassien. Cela s’est avéré finalement inexact puisque Annemarie s’était déjà annoncée directement à l’organisateur.
Entreprenante, comme à son habitude, Marianne a donc pris son téléphone et a appelé les jeudistes pour les encourager à l’accompagner. 9 d’entre eux ont répondu à l’appel et ont participé à l’une ou l’autre des marches proposées depuis le restaurant du Violat à Courrendlin.
Nous avons profité d’un temps couvert mais très agréable pour randonner et, c’est au moment de l’apéro, que la pluie s’est mise à tomber. Peu nous importait à ce moment-là.
Après quelques mots du Président de la section de Delémont, le repas a été servi et les discussions se sont poursuivies jusqu’en milieu d’après-midi.
Nous avons tous pris beaucoup de plaisir à participer à cette rencontre des clubs jurassiens.








Je 4 mai 2023
Gruyère / Pays d'En-Haut
Nous étions 11 participants
Le ciel est au beau fixe. Nous nous retrouvons à la gare de Gruyères. Le train de 8h58 nous emmène à Montbovon dans la vallée resplandissante de l’Intyamon. Un sentier agro-sylvicole serpente à travers une nature se déclinant en camaïeu de verts. Un décor de carte postale. Bientôt on rejoint le lac de Lessoc qui est en fait un étranglement de la Sarine pour alimenter le barrage. Le Pont de Lessoc date de 1167 et indique que la voie était empruntée depuis l’Antiquité déjà. On suit alors le sentier qui nous emmène au village de Lessoc faisant partie de ces villages de l’Intyamon qui ont gardé un charme fou, chalets intacts du XVII siècle, et une incroyable fontaine avec son dôme à bulle. Ensuite, descente direction Grandvillard en faisant un petit détour par la cascade de la Taouna et la grotte dédiée à Notre-Dame. Une aire de pic-nique nous invite à nous restaurer avant de continuer une longue descente le long de la Sarine.
Seul bémol, la chute malencontreuse d’une participante se soldant par un bras cassé! Un dernier effort est requis pour grimper les marches menant à Gruyères. La journée se termine par une verrée bien méritée avant de reprendre la route.
Merci à tous pour votre bonne humeur et à bientôt pour d’autres aventures.








Di 30 avr. 2023
Sortie spéléo au Creux d'Entier
Une sortie spéléo au programme du CAS La Neuveville. Ce n’était pas vraiment une première mais ça faisait longtemps. De plus la sortie proposait “de la vraie spélélo” avec ses puits vertigineux, ses fractios plein vide et ses étroitures infâmes.
Le Crreux d’Entier,, sa profondeur respectable, son concrétionnement hors du commun, ses équipements aériens, et ses multiples parcours en font une des grandes classiques de la chaîne du Jura (inventaire spéléo du Jura bernois).
Les 6 participants et les 2 monos (Sabrina et Simon) se retrouvent dimanche matin au local du spéléo-club Jura aux Grand-Champs (Undervelier), Cabine d’essayage, démonstration de manipulation du matos et nous voilà parti pour le Creux d’Entier (situé entre Bellelay et Fornets)
Ambiance très concentrée pour le premier puit. Dame ais-je bien compris comment placer mon descendeur ? Ouf ça tient.. Puis les puits (c’est exprès) s’enchaînent, les fractios plein vide (accessoirement plein d’adrénaline) aussi. Quelques étroitures et nous voilà en haut du Puit des bâlois. On en restera là pour cette fois. Pic-nic puis la mise en application des techniques de remontée sur corde. Ambiance et côtillons à tous les étages.
Toute l’équipe ressort du trou le sourire aux lèvres, pour certains bien épuisés. Une exception toutefois. Un kit a pris un chemin différennt. L’équipe des monos nous raccompagne aux Grands Champs puis retourne dans le Creux pour y récupérer le kit sécessionniste. Quand on aime.
Je crois pouvoir écrire que toutel’équipe du CAS LN a eut un énorme plaisir dans cette équipée, y compris ceux qui testaient les profondeurs pour la première fois.
Surtout un grand merci aux deux supers monos, Sabrina et Simon pour leurs compétencese et leurs bienveillances. On a adooooré partager votre passion. Merci aussi au spéléo-club jura et à ses membres pour la mise à disposition du matériel.
Après une si belle expérience, une sortie spéléo dans le prochain programme du CAS LN ?
Encore bravo et merci à toute l’équipe







Je 20 avr. 2023
Sentier des Toblerones
Retard du train, suppression d’un autre train, pas de café à Bassins, petit changement d’itinéraire pour cause de travaux, tout cela n’a pas découragé les fidèles randonneurs qui découvrent la région des Toblerones avec à la main le chocolat précité. Les discussions et les rires nous accompagnent et en fin de parcours la pluie également. Malgré tout jolie rando entre forêt et urbanisme. Merci à tous pour votre joyeuse participation, c’est toujours un plaisir.






Ve 14 avr. 2023
Anniviers en étoile depuis Bella-Tola
Après avoir suivi méticuleusement l’évolution de la météo et des conditions d’enneigement durant toute la semaine, nous avons finalement décidé de renoncer à la traversée prévue et avons proposé en remplacement 2-3 jours de rando en étoile de la cabane de la Bella Tola. 8 personnes se retrouvent à St-Luc vendredi par un matin radieux. Nous prenons le funiculaire puis 2 téleskis pour faire une première descente dans une neige poudreuse comme il n’y en a qu’en Norvège. Ensuite nous montons au Pas-de-boeuf et descendons la piste du Prilet jusqu’au Chalet Blanc au pied de l’hôtel Weisshorn. Là fini la rigolade, nous collons nos peaux et attaquons la montée en direction de la Pointe de Tourtemagne. Les dernièrs voiles de nuages s’envolent et c’est sous un soleil resplendissant que nous arrivons au sommet environ 3h plus tard. La descente plein nord semble un peu soufflée dans le haut du coup nous optons pour le mur sud-ouest qui rejoint directement les pistes de St-Luc. Une neige de rêve, des skieuses et skieurs qui écrivent des courbes avec bonheur et des skis qui “dancent et se fraient de la place” dans la pente. Nous contiunons en hors-piste puis sur de la neige à canon pour arriver au restaurant du Prilet et s’installer sur la terrasse. Un petit coup d’oeil aux horaires du funi et oups nous repartons au galop pour prendre le dernier funiculaire de la journée. Ouf c’était moins une et enfin nous prenons le temps de boire une bière sur la terrasse de Tignousa. Ensuite une montée de 20min droit dans la pente et en ligne nous amène à notre gite du soir, la cabane Bella Tola, fraichement rénovée. Nous prenons la chambre dotée d’un hublot pour fenêtre et préparons nos lits tant bien que mal. Ensuite apéro, souper, discussions et un dernier verre servi au bar par Christine et Virgile.
Le lendemain, comme annoncé, la météo est maussade. Nous déjeunons et partons en direction du sommet de la Bella Tola. Quelques éclaircies au début nous laissent espérer un peu de visibilité, mais bientôt le temps se bouche complètement, la neige se met à tomber et le vent se lève. Arrivée au sommet nous décidons de redescendre sur nos pas, une descente hors des chemins balisés nous semblent trop risquée. Nous allons prendre une soupe à Tignousa et ensuite descendons sur Chandollin toujours dans la neige et le brouillard. Les personnes qui rentrent prennent le bus, celles qui restent prennent le télésiège pour retourner à la cabane.
A partir de là … un ours a rejoint l’équipe restante et forme ainsi un joyeux quator.. pour continuer le dimanche par une journée de freeride mémorable, -6000m de poudre à gogo dans une ambiance irréaliste de fermeture de station !!
Et merci à tous pour ces 2-3 jours de très beau ski partagés dans la bonne humeur...comme toujours !
Laurent et Gilles








Je 23 mar. 2023
Gümmenen / Niederried
Il est pile 9 heures lorsque nous démarrons de la Neuveville en voiture pour Kallnach. Au passage, nous embarquons Ursula Sauter qui a laissé sa voiture à la gare de Lüscherz pour la journée. A Kallnach, nous prenons le train qui nous amène à Gümmenen, point de départ de notre marche de la journée. Ariane, venue d’Adelboden, nous attend à la sortie du train et, finalement, ce sont onze participants qui se mettent en route, heureux de se retrouver pour la première sortie printanière de l’année 2023.
Après une petite grimpette dans la falaise qui surplombe la Sarine, suivie d’une descente sur un sentier très bien aménagé et sécurisé, nous retrouvons la rivière que nous longeons pendant une heure environ avant d’arriver sur le lieu de pique-nique, aménagé à proximité de deux terrains de sport: l’un de hornuss et l’autre de football. En face de nous, de l’autre côté de la rivière, d’imposantes falaises de molasse pourraient être utilisées par des Faucons pèlerins ou des Hirondelles de rivage pour y nicher. Mais j’ai beau scruter la paroi avec mes jumelles, je n’aperçois aucun volatile.
L’estomac bien rempli, nous nous remettons en marche pour arriver au confluent de la Sarine et de l’Aar. C’est là que nous rejoignons l’itinéraire 38, via Berna, aménagé en 2021. C’est là aussi que nous pénétrons dans la zone de protection de la nature Niederried-Oltigenmatt, zone d’importance internationale pour les oiseaux d’eau. Au passage, nous observons des Harles bièvres et de nombreux autres anatidés, mais nous n’avons pas le temps de nous attarder: quelques kilomètres nous séparent encore de Niederried et de Kallnach où nous attendent nos voitures.
C’est au restaurant de la Gare que nous nous quittons, contents de la journée passée ensemble. L’absence de soleil et deux brèves averses n’ont pas réussi à entamer notre bonne humeur.








Sa 18 mar. 2023
Roter Totz
Après quelques hésitations sur le danger d’avalanche, je maintiens le projet initial.
Départ à 6h00 à la Neuveville, puis déplacement en voiture pour Kandersteg. Montée en télécabine du Sunnbuel à 8h00.
En haut du télécabine, dépautage pour une participante qui a survolé le descriptif de la course.
Ensuite, légère descente sur le plateau du Spittelmatte.
Là, on met les peaux pour la montée tranquille en passant devant l‘hotêl Schwarenbach, juste sur un petit plateau où l’on fait une petite pause, avant d’attaquer les choses sérieuses.
Montée très esthétique par un vallon puis l’on atteint à ski le sommet du Rote Totz à 2847.
Pas foule, seulement 7 autres personnes. Les médias ont bien fait leur psychose.
On entame la descente par une belle pente idéale pour mon grand niveau de ski, ça tourne tout seul dans une neige parfaite.
Les pentes douces se suivent et on remonte même un peu de temps en temps.
Arrivés au passage du Walliwang, où la pente passe à 33°dans une face nord est.
On s’espace un peu pour ce passage exposé.
Après une traversée de ruisseau, on rejoint les premiers chalets d’alpage où l’on fini de vider nos gourdes, il fait vraiment très chaud.
Le chemin commence à manquer de neige, et comme prévu, on fini par un portage d’une vingtaine de minutes.
On finit cette belle course avec une super équipe, en sirotant nos demi de panaché sur le resto branché du Ruedihus.
Merci aux participant(e)s et à Caroline pour son engagement.
Au plaisir de se revoir pour de nouvelles aventures...








Je 9 mar. 2023
Grindelwald / Faulhorn
N’a pas eu lieu: météo
N’a pas eu lieu: météo
...Di 5 mar. 2023
Bürglen 2165 m
7 Clubistes se sont retrouvés sur le parking de la Untere Gantrischhütte à 8h pour ma première en tant que chef de course! Un premier raté... le café n'ouvre que à 9h. Décidément je n'ai pas du bien écouter durant la formation ou le guide à pourtant bien dit "il faut toujours qu'il y ait un café au début d'une course pour clubiste" !!
La joyeuse troupe se mets néanmoins en route en direction du Morgetepass que nous atteignons 1h30 plus tard. De là nous somme contraint de porter les skis quelques mètres car il n'y a plus beaucoup de neige sur les pentes sud à cette altitude. Certains participants y voient un signe... va-t on assister au fameux combo Neuvillois portage-boucle-grande bière??!!
Nous atteignons le sommet du Bürgle en slalomant entre les mottes d'herbe et de là nous savourons la superbe vu que nous offre les Alpes Bernoises. Les chaussures sont réglées en mode descente puis nous descendons façon Candide Thovex avec supplément bouse de vache! Puisqu'il n'est pas encore midi nous décidons de remettre les peaux pour quelques mètres afin d'atteindre le sommet du Gemsflue d'où nous redescendons au Morgetepass pour profiter du pic-nic au soleil.
A la montée nous avions repéré que la pente nord du Schiebespitz avait l'air d'être en bonne conditions de skis... nous remettons les skis sur le sac (sisi un 2e portage) pour atteindre ladite pente. Puis nous chaussons les skis pour trouver une superbe neige poudreuse préservée. Les virage s'enchaînent pour regagner la voiture à la Gantrischhütte. Autour de la grande bière bien méritée nous nous rendons soudainement compte que nous avons fait une boucle... nous avons donc bel et fait un combo portage-boucle-grande bière!
Merci au participants qui ont bien voulus être cobbay pour mon baptême du feu! Ce fut une superbe journée!
Timon








Sa 4 mar. 2023
Région Trient
Une équipe de choc, une météo de rêve, la région la plus blanche de Suisse, pour ce week-end dans la vallée de Trient. Les photos étant toutes désordonnées, vous trouverez ci-dessous l’ordre dans lequel les choses se sont déroulées.
1ère photo: nous nous équipons sur le parking glacial du village du Trient, encore bien enneigé malgré l’altitude modeste du lieu.
2ème photo: au soleil levant nous nous éloignons des bruits de la civilisation et nous enfonçons dans la longue vallée qui se termine au col des Ecandies.
3ème photo: nous mettons les couteaux et remonttons le goulet qui mène au pied du glacier des Grands, dans une ambiance froide, et le long d’un torrent sauvage. Avec 2 mètres de neige en plus, ça serait plus facile...
4ème photo: nous atteignons un plateau ensoleillé surplombé de glaciers et suivons une moraine en direction du sommet des Grandes Autannes.
5ème photo: quelques conversions sportives et nous voilà sur l’antécime avec une vue superbe sur Vallorcine et le majestueux Mont-Blanc.
6ème photo: les skis sur le sac nous traversons le sommet d’abord neigeux puis en rocher pour redescendre vers un petit col qui nous permet de basculer en versant nord.
7ème photo: la petite couche de neige tombée le week-dernier est toujous poudreuse, mais attention il faut être sur ses gardes car il y a quelques pièges et le fond est dur.
8ème photo: nous dérapons dans le goulet du “Nant noir” et nous frayons tant bien que mal un chemin parmi les boules et les rochers d’anciennes coulées.
9ème photo: alors que nous arrivons dans le fond du goulet, un loup à la fourure imposante traverse le ruisseau 30 mètres devant nous et monte dans la forêt d’en face sous nos regards ébahis.
Nous trinquons à cette belle journée sur la terrasse de l’hôtel du Col de la Forclaz en admirant nos traces de descente. Ensuite une fondue, un plat de pâtes pour les sportifs d’élite et un sorbet à l’abricotine, pour ne pas perdre les bonnes habitudes, nous remettent d’aplomb. Après quelques débats animés pour le choix de la course du lendemain, nous décidons de partir à l’assaut de la Pointe Ronde, ski au pied du col de la Forclaz.
10ème photo: nous traversons à flanc de coteau en-dessus de la vallée du Rhône en style mixte, c’est-à-dire à ski, à pied, à ski avec couteaux, à pied, puis finalement nous débouchons à ski sur un magnifique plateau beau blanc comme dans un conte fée.
11ème photo: la montée est maginifque avec vue sur les Alpes suisses et nous profitons de la vue à 360° du sommet pour la pause de midi.
12ème photo: nous tirons quelques bananes dans le versant est encore au soleil afin de profiter des belles pentes vierges que nous avons pu observer en montant, puis nous remontons de quelque 200m pour se lancer dans la face nord un peu au-dessous du sommet.
13ème photo: 1 à 1 nous dérapons dans un petit couloir avant de faire une longue traversée pour rejoindre les belles pentes du milieu de la face.
14ème photo: les skieuses voltigent, les skieurs volent, la neige s’envole, chacune et chacun choisit sa ligne, belle descente qui finie dans les mélèzes et rejoint la traversée piste de bob entrecoupé de tronçons à pied.
Vers 15h nous sommes de retour sur la terrasse pour une dernière bière servie par notre serveur préféré de Toulouse, avant de prendre la route des bouchons du dimanche soir.
Un sommet, un portage, une boucle, quelques péripéties et une équipe de choc, que vouloir de plus?








Ve 24 fév. 2023
Wildstrubel-Wildhorn-Arpelistock(course modifiée)
Plus d'eau à la cabane Maria Luisa ? Plus de neige pour monter à Piansecco ? Qu'à cela ne tienne ! Nos deux incroyables GOs ne baissent pas les bras pour autant et proposent de transformer notre virée au Basodino en Haute Route Bernoise, rien que ça !
24 février
Quel plan B royal ! D'autant plus qu'au départ, à Engstligenalp, c'est un soleil radieux qui nous accueille... et qu'il a neigé pendant la nuit! Après des semaines de disette, chacun savoure le toucher velours de cette couche de poudre fraîche sous ses skis. Quel bonheur !
À l'approche du fameux Früestücksplatz, les choses se corsent. La trace de la traverse d'approche qui de loin avait l'air bien marquée s'avère être surtout bien rebouchée et à refaire... ce que Caroline fait de main de maître, de même que les marches pour la sortie en portage.
Cette petite difficulté passée, nous rejoignons la crête des Strudels. Oups, lapsus révélateur… c’est qu’à ce moment il commence à faire faim ! Mais nous avons été prévenus que l’étape serait longue et ne laisserait probablement pas le temps pour une pause pic-nic-sieste-au-soleil.
À la vue du Mittelgipfel certains pensent arriver au bout de leurs peines mais le Wildstrubel se cache encore plus loin derrière. Heureusement, la vue panoramique tout au long de ce chemin de crête est magnifique et, au final, même les plus fatigués retrouveront des ressources insoupçonnées dans la belle descente poudreuse de la face ouest du Wildtrubel.
Au pied de cette descente, nous nous encordons pour traverser le glacier de la Plaine Morte. Le soleil déjà bien bas et les quelques nuages décoratifs apparus dans l’après-midi jouent à cache-cache et nous gratifient de magnifiques jeux de lumière sur cette immense étendue couverte de neige fraîche et vierge de toute trace. Tout simplement magique !
Encore quelques mètres de dénivelé pour franchir la Wisshorelücke et c’est avec les dernières lueurs du jour que nous arrivons à la Wildstrubelhütte… à l’heure du souper moins une.
Pas de temps pour la traditionnelle petite bière apéritive donc, mais on se rattrapera largement après le souper… au point que certains en perdront un peu le sens de l’orientation… On pourrait se faire un petit couloir au Simplon demain, non ? Allez, la nuit porte conseil.
25 février
Le bircher à peine englouti les dix vaillants montaient au col Wisshorelücke, d’où, accueilli par un soleil bienfaiteur, ils fondaient sur le Rohrbachstein. Suivaient une descente en direction du col du Rawyl , une remise des peaux, collantes pour la majorité du groupe, avant une traversée des alpages et une ascension sudatoire sur le Schnidejoch. Au col, chacun profitait de la pause du weekend pour dévorer les pique-niques.
Repue, la troupe engageait quelques courbes jubilatoires dans l’immaculée blancheur avant la remontée sur le glacier du Chilchli, puis des flancs du Wildhorn. Ebahis par le décor grandiose, deux membres du groupe s’arrêtaient à quelques mètres du sommet, histoire de s’éclater les pupilles plus longuement. Seules les alpes émergeaient et les nuages avaient même envahi la Plaine Morte.
S’ensuivait une descente du Wildhorn en direction de la cabane Gelten, agrémentée d’un ou l’autre concours de remise des peaux ou portages de ski. Gilles, très proche, mais à peine visible dans les nues, jouait du poignet, orientant le groupe plus soudé que jamais. Caroline, généralement moins proche et invisible, chantait sa présence rassurante en fin de peloton.
Finalement, la cabane s’offrait à nous, à nos lèvres sèches, à nos estomacs parés pour l’inévitable platée de pâtes, à nos rires, à la narration de nos exploits.
26 février
Après deux magnifiques journées, affichant un total de 34 km de distance et 3'200 m. dénivelée positive, ponctuées par deux nuits en cabanes, où nous regrettions notre lit douillet sans voisin bruyant, les esprits et les corps de toutes et tous commencèrent à montrer des signes de fatigues, plus ou moins marqués chez certains, au levé de cette troisième et dernière journée.
Si au programme, une petite sortie, qui faisait office de récupération active, était prévue, il suffisait de regarder par la fenêtre pour se rendre à l’évidence que faire encore un sommet était plus de l’acharnement qu'un partie de plaisir. En effet, après deux journées radieuses, le vent, le froid, le brouillard, ainsi que la neige, dont on salue son retour tellement elle nous a fait défaut jusqu’à maintenant, s’étaient invitées en ce dimanche. Bien que les chef(fe)s de courses aient cherché une alternative, ils décidèrent que la meilleure option était de descendre directement de la cabane pour retourner à la civilisation. Ce choix n’a fait l’objet d’aucune contestation de la part du groupe. Bref, tout le monde était du même avis.
Après un copieux petit déjeuner, qui s’est prolongé tellement l’accueil de la Geltenhütte fût chaleureux (motion au passage pour la Wildstrubelhütte), nous remîmes nos tenues, pas totalement sèches, et attaquâmes la descente sur Lauenen Bei Gstaad. Nous n’épiloguerons pas trop sur cette dernière qui fut un peu « Rock’n’Roll ». Par chance, une légère couche de vieille neige nous a permis de rejoindre le premier arrêt de bus, depuis Louwensee, en mettant les peaux sur une bonne partie du trajet. Et oui, une journée sans peau au CAS, n’est pas une journée du CAS.
Ayant de l’avance sur notre carrosse qui devait nous mener à la gare, nous prîmes un café dans le bistrot du coin avec un changement de décors radical par rapport aux deux cabanes. Pour rappel, nous étions dans la région de Gstaad. C’est à ce moment que la plus grande décision de la journée devait être prise ; « qu’est-ce qu’on mange à midi ??? ». Il faut savoir qu’un des organisateurs de ce petit week-end, dont nous tairons son nom, avait bien précisé qu’il ne fallait prendre que 2 pique-niques pour les 3 jours. Le jeûne serait-il la nouvelle mode du CAS... Pour se faire pardonner, Gilles, sans le nommer, nous réserva une table dans un magnifique restaurant de Gstaad histoire de finir ce week-end par une bonne fondue. Heureusement ce délicieux met masqua notre doux fumet, affiné par 3 jours de montagne, à la clientèle « paillette » du restaurant.
Pour digérer ce « pique-nique », rien de tel qu’un retour en train Gstaad-Zweisimmen-Bern-Bienne, terminus, où tout le monde descendit et se dit au revoir sous une brise fraîche.
C’est ainsi que se termina ce magnifique week-end orchestré avec brio par nos deux chef(fe)s dont on ne peut que les remercier d’avoir remué ciel et terre pour éviter l’annulation pure et simple de ce week-end. Cette dernière n’était pas une option pour eux et on l’a appréciée.
Pour finir, nous saluons la grande première pour Caroline, en tant que cheffe de course, qui a su mener, avec la complicité de Gilles, sa troupe jusqu’au sommet du Wildstrubel et du Wildhorn, à travers les glaciers.
Et pour finir et surtout ….un immense MERCI aux rédactrice et rédacteurs de ce magnifique récit de course ...on s’y croirait...c’est trop beau ! Merci Christine, François et Nicolas.
Encore une fois de très beaux jours passés ensembles en montagne, avec une pensée particulière à notre ami Jean-Cri, avec qui nous avions souvent parcouru cette région.
Gilles








Je 23 fév. 2023
Monts Chevreuils
N’a pas eu lieu: météo
N’a pas eu lieu: météo
...Sa 18 fév. 2023
Tête à Josué 2131m
Après moulte changements, des blessés, des désistements, des annonces de dernière, nous serons au final une équipe de 9 personnes à vouloir gravir la tête à Josué, un petit sommet situé au dessus de l’Etivaz.
Départ 6:30 depuis la Neuveville pour 7 d’entre-nous, 2 rejoindront directement à L’Etivaz. Et c’est à 8h qu’on se retrouve tous au parking.
La météo est avec nous, il fait grand beau et une température comme un mois de mars. Il reste de la neige sur le flan nord-est des Arpilles, mais celle-ci est dure, bien tracée. Pour la montée, ça ira pour sûr, pour la descente, il faudra se battre. Sur les flancs sud et ouest, plus que des petites tâches blanches, même au dessus de 2000 m.
2:45 de montée assez cool sur un chemin d’alpage avant d’entamer le dernier tronçon avec quelques conversions avant d’arriver au sommet. Sur le sommet, une belle vue s’offre à nous sur le Tarrent, la Para (Tournette), Châtillon, le Pic Chaussy, la Cape au Moine. Après une petite pause, nous descendons un peu plus bas, ou certains se sont arrêtés.
La descente s'avère de fait, un beau combat dans les fausses traces, la neige dure et carton.
Nous arrivons à nos voitures vers 14h, et après un dernier pot au restaurant du chamois, soit dit en passant est à vendre, partons rejoindre nos pénates.
1000m de dénivelé récompensés par un superbe panorama. Merci à tous les participants.








Sa 11 fév. 2023
Chistihubel 2216m (Kiental)
Magnifique journée dans le Kiental. Nous sommes 12 à partir à l’assault du Chistihubel, dôme rond culminant à une altitude de 2216m. Une fois les pauses cafés terminées..., c’est sans difficulté particulière que nous atteignons le sommet. Le magnifique temps sans vent nous permet de pique-niquer directement sur celui-ci.
Ce petit pique-nique bienvenu nous permet de reprendre des forces pour attaquer la descente dans la pente nord du Chistihubel. C’est dans une neige poudreuse que nous entamons une belle traversée avant de descendre dans des pentes un peu plus raides. La neige est légère mais attention, les cailloux ne sont jamais très loins… Après une petite remontée, nous finissons dans des pentes plus douces et toujours agréables à skier. Belle boucle, un vrai plaisir et bravo à tous!








Ve 10 fév. 2023
Châtillon | Gstellihorn 2820 | Tour de Famelon
Vendredi 10 février
Par env. -10 degrés l’équipe du week-end se retrouve finalement à l’Etivaz. Malgré le froid des dernières semaines, le choix de la course du week-end a été pour le chef de course un challenge… Nicolas n’a pas allumé assez de cierges pour annoncer plus de neige, comme il nous l’avait promis. On espère néanmoins trouver de la bonne neige en allant au Châtillon, 2478 m.
A environ 9h tout le monde est prêt, on ne traîne pas, le froid pique un peu. La course débute à l’ombre, mais heureusement cela commence à monter un peu. La trace est bonne jusqu’à la bifurcation qui mène au Tarent. Ensuite, il faut partiellement faire la trace au milieu d’un magnifique paysage forestier. L’ascension progresse pratiquement sans difficulté jusqu’au dernier col. La traversé menant au sommet se révèle dure et un peu glacée... Afin de continuer « tranquille » notre « chef » doit peller ! Bien du monde est content de profiter de ce boulevard (même le guide derrière nous, ne dépasse pas et remercie pour la trace). Une fois cette étape franchie, on atteint le sommet facilement. Magnifique panorama, ciel bleu et soleil. Puisqu’il manque de piment à cette journée avant de redescendre, il faut faire une recherche (non DVA), mais téléphone ! Notre chef a tout prévu ! Une fois tout en poche, on redescend sur une neige pas trop mal, tout d’abord par la trace de montée, ensuite à l’ouest de la trace. Descendre pour remonter à la Corne des Brenlaires (je n’invente pas) ! On se demande, en montant, si on va trouver de la neige à la descente… Heureusement, celle-ci commence dans la poudre et finit un peu plus « durement ». Arrivés aux voitures, on ne tarde pas, car on a soif et il faut se déplacer à l’hôtel. Celui-ci est très accueillant. Le gérant nous fait part d’une règle, qui nous a poursuivie le samedi. Le temps qu’il fait, lors de la pleine lune, inclus changement, s’installe pour en général trois semaines. On aimerait de la neige s’il vous plaît.
Samedi 11 février
Après un souper bien copieux, mais sage, on regrette presque d’avoir bien mangé en voyant le déjeuner. On repart pour la plus grosse journée du week-end le Gstellihore, 2820 m (environ 21 km) : cabine, ski et via ferrata. La journée commence dans la bonne humeur et avec le soleil. Direction col du Pillon pour prendre la benne. On débute par le meilleur, descente sur le glacier, la neige est poudreuse. Après 1h30 de marche on atteint le début de la via ferrata. Le beau temps des semaines précédentes a fait fondre la neige. Ce qui la rend la assez facile, les échelons sont dégagés. Sous un soleil éclatant, chaque cordée progresse bien sécurisée. Après cette grimpette, il nous faut encore 45 mn pour atteindre le sommet. A partir de celui-ci, une longue descente nous attend. La neige est un peu « carton », parfois il y a un peu de poudre. Afin de poursuivre la descente, il faut repeauter pour atteindre un col à 2228m. On s’engage pour notre dernier long morceau. La première partie est plutôt dure, pas de poudre, mais plaisante à skier. Puis, on arrive au niveau de la végétation du couloir. Il faut slalomer entre les sapins et les cailloux. Le « bouquet final » se termine par la traversée d’un champ et un chemin de forêt (un peu rodéo), pour arriver au sommet d’une piste. La dernière recommandation du chef : ne vous blessez pas !
Ce week-end se termine ici pour certains, d’autres se sont laissés corrompre par l’abricotine de l’hôtel et la bonne ambiance des sorties !
Le dimanche ensoleillé des rescapés. Dimanche 12 février
Trois motivés sont au taquet au buffet du déjeuner dimanche matin. Il y a tant à manger que cela demande une première dose d’endurance, on peut même tomber sur des Urs… en route pour le Châtillon. En pleine forme, nous voilà sur les lattes à Leysin pour avaler notre deuxième copieux menu de la journée : un sommet, une boucle, un portage, une arête et une grande bière. Nous trouvons au sommet des pistes, une face nord plutôt poudreuse que nous allons bisser. Puis, joli portage dans un couloir bien raide. Jolie marche d’arête, piquenique Sur Les Truex à 2195 m. Là, se produit un petit miracle, une marmotte orange dévale, dans un léger bruissement, la pente sud. Mais, ne devrait-elle pas hiberner cette jolie demoiselle ? Au moment de remettre nos skis, il en manque un à l’appel… et si c’était lui la marmotte furtive ? Par une incroyable chance, il s’est arrêté dans un petit couloir accessible. Et c’est finalement avec nos six skis que nous arrivons au sommet de la Tour de Famelon. Que la vue est belle. Mais il est déjà temps de redescendre, les installations ferment dans vingt minutes. De justesse nous passons d’un télésiège à l’autre pour finir directement à l’apéro. Pour terminer ce feu d’artifice, une bonne fondue atténue les bouchons du retour.
Merci aux 2 rédactrices. Danika et Anne.








Je 9 fév. 2023
Jura
Ciel bleu, soleil radieux, pas de risque d’avalanches et une équipe motivée, c’est parti pour une rando hivernale au pays de la tête de moine. Premier km à plat (on discute beaucoup) puis grimpette par la forêt de Montbautier (on discute moins !) pour arriver à “l’école” de Sur Montbautier ou nous pouvons déballer pique-nique, apéro et crème solaire. On passerait volontiers toute la journée à faire bronzette sur les bancs en plein soleil mais voilà, il nous reste encore les 2/3 de l’itinéraire à parcourir. Donc, debout la troupe! En une dizaine de minutes nous atteignons le point culminant de la journée, 1160 m. Et c’est à ce moment-là que j’ai commis une grave erreur en déclarant qu’il s’agissait de la dernière montée de la journée. Et bien non, il y en eu d’autres, petites d’accord, mais cela ne fut effectivement pas la dernière, désolée Ariane 🤣. Par La Rouge Eau (et non pas La Rouge Terre, 2ème erreur!) et La Bottière nous revenons à notre point de départ, le musée de la tête de moine. De cette journée nous ramenons diverses sortes de fromage et, je l’espère, quelques bons souvenirs. Merci à tous pour votre bonne humeur et à une prochaine, sac au dos.






Di 5 fév. 2023
Bundstock 2756 - Tarent 2548
C’est le tango du CAS La Neuveville :
On est 18, 17, 16. 14, 15, 14. Finalement 16 participantes et participants au départ.
On va au Bundstock, ha non au Chistihubel, ou bien à Tête ronde, à La Para. Finalement au va au Tarent
On va dimanche, puis finalement c’est mieux samedi. Finalement on va dimanche
Va faire beau, non moche, ou bien nuageux. Finalement il a fait beau
Les chefs de course ont passé la semaine précédente la course à faire chauffer les sites météo. Finalement avec succès car le Tarent était le bon choix de la journée. Jetez donc un oeil aux photos.
Bertrand, Barbara, Sasha, Lucie, Daniel, Annie, Mary-Line, Sylvie, Pierre, Michaël, Annick, Jean-Marc, Bastien, Oz, Sabine, Richard. Le compte y est, tout le monde est à l’heure sur le parking de l’Etivaz. On longe un ruisseau bien-nommé l’eau froide, puis on entame la dénivellée. Les chefs de course, Bertrand, Jean-Marc et Richard se répartissent l’équipe et c’est parti dans une pente déjà bien raide, certains mettent les couteaux. Les plus prévoyants se demandent déjà comment va-ton descendre plus tard dans ce carton gelé.
Changement d’ambiance à mi-course. Le vallon qui conduit au sommet est sympa mais reste un peu avare en ensoleillement. L’avant dernière pente se grimpe skis sur le sac, puis du dépôt de ski, encore quelques efforts à pied et voilà une bonne partie de l’équipe au sommet étroit du Tarent.
La première partie de la descente avec sa pente à plus de 40 degrés fait quelques soucis à la plupart et à certains en particulier. Un peu plus bas on peut respirer et skier sur une neige tout à fait correcte. La seconde partie de la descente est horrible. L’équipe prend l’option de suivre le chemin pédestre qui mène sur le parking à l’Etivaz.
L’auberge du chamois au demeurant fort sympathique accueille les participants. Pour certains un tour à la fromagerie puis ce sont les retours at home avec de magnifiques images.
Merci à toute l’équipe pour la bonne humeur.
Merci en particulier aux chefs de Course Bertrand et Jean-Marc
Richard








Sa 4 fév. 2023
Patraflon en boucle
La météo est maussade samedi matin, mais c’est de bonne humeur et plein d’entrain que 5 clubistes se mettent en route vers 8:30 en direction du Patraflon. En montant la visibilité se réduit et bientôt nous sommes enveloppés dans le brouillard. Quelques flocons se mettent à tomber mais malheureusement pas suffisamment pour nous préparer une couche de poudreuse pour la descente. La montée se redresse pour arriver sur la crête du Patraflon. Le brouillard se déchire 1-2 minutes, le temps d’apercevoir les pistes de Charmey puis se referme. Nous gravissons le sommet ouest du Patraflon à pied dans une ambiance assez hivernal, la bise s’étant levée. Nous ne trainons pas et redescendons jusqu’au col puis nous engageons dans le couloir nord. La visibilité n’est pas bonne, pourtant Marcel retrouve son thermos qui a fait une glissade de 200m. La neige est tassée et assez agréable à skier, nous pouvons même faire un peu de godille dans le bas. Comme il est encore relativement tôt, nous décidons de faire une pause pic-nic et de faire le point dans une demi-heure selon l’évolution de la météo. 30min plus tard, la météo ne s’est pas améliorée et c’est d’un commun accord que nous descendons le vallon par les Recardets dans une neige qui est devenue super lourde pour rejoindre le Lac noir. Un verre à Zollhaus clos cette petite journée qui s’est passée dans une ambiance fort sympathique, malgré les conditions médiocres.



Ve 3 fév. 2023
3 jours Ski de randonnée Val d'Entremont
8.40 vendredi l’équipe composée du CAS Neuchâtel et du CAS de la Neuveville se complète petit à petit autour du classique café au Bivouac Napoléon de Bourg-St-Pierre. La journée s‘annonce resplendissante, ciel bleu avec conditions plus que favorables. Menu du jour assez conséquent environ 19km, 1600 de dénivelé pour arriver plus ou moins à l’ouest du Ritord. Pour ensuite s’offrir, on espère une belle descente. L’équipe, une colonne de 13 personnes, en impose sur le chemin. Hé oui on fait peur au petit groupe que l‘on croise !Notre ascension se déroule sans accroc, cela papote dans la bonne humeur. Une magnifique descente s’alterne de jolie poudreuse à parfois un peu de carton. Les traces sont belles. Néanmoins, de ce côté de Bourg St-Pierre les cailloux chantent un peu sous les skis de temps à autre. Journée bien remplie, on arrive juste à l’heure pour l’apéro…
Samedi… on aurait presque pu faire la grasse mat… Programme plus light, seulement 1200 m mais gros changement de décor, temps couvert et brouillard. Avec motivation (ou de la folie), on se met en route pour La Croix de Tsousse. Sur le bas, il faut à nouveau slalomer entre les cailloux. Ensuite un mot résume le tout blanc, blanc et encore du blanc. Heureusement nos chefs de courses sont au top et nous mènent à bon port grâce aux instruments. Nous renonçons au sommet car le temps file et la visibilité est toujours aussi nulle malgré l’apparition d’un très éphémère rayon de soleil. Après un bout d’arête, la descente s’amorce dans ce brouillard, on distingue à peine les skieurs précédents. Mais quel bonheur de trouver une super poudreuse qui fait bien vite oublier la visibilité médiocre. La seconde partie s’avère un peu plus galère avec un rodéo entre les arbustes bien serré, il n’est pas rare d’observer un collègue se débattre méchamment avec un buisson ! Un vrai james Bond pchuuut… Sortie finalement un peu plus longue que prévue, le jacuzzi est sacrifié pour l’apéro… À la Neuveville c‘est sacré. Belle soirée en perspective.
Dimanche dernier jour, un vrai départ de montagnards dans le but d’être assez rapidement au sommet de la Dent de Grand Lé. Départ cette fois-ci, par grand beau temps en voiture jusqu’au parking de Bourg-St-Bernard. La montée se fait dans les temps prévus, malgré le dernier tronçon glacé avant le sommet avec les couteaux. Jolie récompense, La vue au sommet est fabuleuse. Pique-nique à l’abri du vent un peu au-dessous du sommet avant de se préparer pour la suite. Pour la descente le groupe se scinde en deux. Les plus téméraires prendront l’itinéraire initiale avec une superbe descente sur de la neige très dure, traversée de ruisseau et re-bagarre avec les buissons pour finir en skating et à pied jusqu’au Napoléon. Le second groupe suivra l’itinéraire de montée pour rejoindre le parking et ramener les voitures et pour finalement tous se retrouver comme au départ autour de notre grande stammstich ! Apéro ou café avant le retour en plaine et d’affronter les traditionnels bouchons du dimanche soir sur la route du retour !
Week-end réussi ! Un grand merci aux chefs de course Gilles et Laurent et à tous les participants pour leur bonne humeur.
Danica et Olivier
Merci aux rédacteur.e.s..comme toujours a mes courses...on se partage le boulot ;-)
Oui beau week-end en montagne en compagnie de nos amis neuchatelois. Au final, samedi soir au souper, c’étaient les membres de 4 sections de l’arc jurassien qui partageaient de bons moments...la montagne est un petit monde…
Merci donc à tous pour cette première course neuchatelo-neuvilloise.
Gilles

Je 2 fév. 2023
Jura
N’a pas eu lieu: enneigement insuffisant
N’a pas eu lieu: enneigement insuffisant< ...
Di 29 jan. 2023
Rauflihorn
Magnifique journée au Rauflihore! Nous sommes 4 à partir pour le Rauflihore ce dimanche matin 29 janvier. Le ciel est clair et la journée s’annonce belle. C’est sans difficulté particulière que notre petit groupe se retrouve au somme du Rauflihore 3 heures plus tard. Nous ne sommes pas tous seuls mais le paysage est magnifique!
Petite pause photo avant de s’élancer dans une magnifique pente nord tout en poudre! Quel plaisir!
Bravo à tous!








Ve 27 jan. 2023
Freeride/rando Région Arolla
3 jours de rêve du 27 au 29 janvier avec une équipe de joyeux lurons, composée de 9 gars et 4 filles !
Arrivés tôt dans la matinée aux installations mécaniques d’Arolla, nous avons commencés nos échauffements et testés cette neige, parfois un peu carton, parfois un peu poudreuse.
Lassés par de fréquentes pannes mécaniques des installations d’Arolla, nous nous décidons de chausser nos peaux pour attaquer le couloir de La Roussette. Après moult dérapages dans ce couloir très pentu, nous nous sommes délectés dans la poudre. Du vrai bonheur.
Puis hors-piste dans le Combe des Fontanesses, vin chaud au sommet des pistes. Tout le monde est joyeux et c’est une belle rigolade !
Retour à l’hôtel avec pour récompense un bel arrosage de bières, souper 3 plats arrosé de vin valaisan. L’équipe reporte la sortie Kurhaus au lendemain.
Le samedi, déjeuner 8h00, hors-piste sur Pragra, dîner à la Chotte sur les chaise Dahu, potage bien pimenté, burger et tarte aux myrtilles.
Promenade digestive à la Cassorte, peaux et portage, descente dans le couloir nord de la Cassorte avec vue sur Dent d’Hérens, Dent Blanche et Cervin.
Descente en portage sur col supérieur des Ignes, descente sur le lac Bleu puis la Gouille. Tournée de bières pour tous ces gosiers déshydratés, rencontre du fribourgeois Laurent, copain de notre Grand Chef, et accompagnateur des neuchâtelois du prochain week-end.
Souper raclette et finalement réjouissances au Kurhaus annulées, car fermé !
Dimanche, les petits nains font apparemment leur travail dans la tête de certains, petit déjeuner plus silencieux!
Mais Gilles nous a concocté une randonnée de rêve dans un site exceptionnel.
Départ pour 30 mn de rando au col de la Forclette, redescente dans la Combe des Ignes, remontée sur le glacier supérieur des Aiguilles Rouges.
Quelques personnes nous lâchent préférant redescendre pour un Monopoly à la Gouille.
Pour le solde restant, pique-nique au sommet avec panorama à couper le souffle.
Encordement pour traverser le glacier avec Grand Gilles qui avec son feeling et ses yeux perçants, nous dégote un passage entre les crevasses. C’est majestueux ! La lumière est fantastique lors de cette promenade exceptionnelle.
Montée à la Pointe de Darbonires, pano encore plus beau avec vue magnifique sur le massif du Mt-Blanc.
Redescente dans une magnifique poudre sur le glacier, petit slalom entre les séracs et crevasses pour arriver finalement à la Gouille où nous retrouvons nos copains.
1100 m de dénivelé et 2000 de descente, du tout grand Gilles !
Merci à toute cette magnifique et chaleureuse équipe !





Je 26 jan. 2023
Montagne de Granges
Rapport de course du 2 février 2023
Montagne de Granges
5 participants
En raison d’une météo défavorable, la course prévue du 26 janvier a été reportée au jeudi 2 février.
François s’est offert pour accueillir les 3 participantes de La Neuveville à la gare de Bienne, car la route menant à la montagne de Granges s’avère enneigée et nécessite une bonne maitrise du véhicule.
Départ du Fuchsboden vers 11.00h par temps gris. Après deux kilomètres, nous chaussons nos raquettes à neige indispensables pour franchir un raidillon. Nous nous dirigeons à travers champs enneigés vers le restaurant Pre-Richard pour déguster un repas du terroir bien apprécié. Le parcours trail 211 et 212 est très bien signalé. Le paysage féérique procure une impression de grand- nord avec son manteau neigeux immaculé et ses arbres recouverts de neige gelée. Nous empruntons le chemin, permettant d’éviter une descente raide en forêt afin de ménager nos articulations. Après environ 2 heures, nous atteignons le restaurant Untergrenchenberg pour une dernière halte conviviale.
Merci aux participantes et participant de votre bonne humeur.








Di 22 jan. 2023
rando initiation Chasseral
La journée d’initiation a accueilli 3 candidats cette année. Un groupe de forts !
Romain, Pascal et Michaël ont enchaînés les conversions difficiles dans le couloir des Roches à Chasseral. Il faisait froid sur la crête, un ravitaillement à l’hôtel s’est avéré nécessaire.
On attend ces buveurs de bière à une prochaine sortie dans les Alpes.


Sa 21 jan. 2023
Monts Chevreuils 1749m
La neige se sera fait attendre, mais elle est là! Et ce jour nous promet une fenêtre météo assez grande pour faire notre course au soleil. Woaw woaw woaw. Par contre la température sera basse, très basse.
7:30 le samedi matin départ de la la Neuveville pour certains. Une voiture depuis Bienne.
Rendrez-vous à 9:00 aux Moulins.
Après un petit café dans une boulangerie, nous chaussons nos skis et attaquons notre montée.
On est vraiment pas seul, mais l'ancienne piste des Moulins est large et ça passe très bien.
Sans conversion, nous atteignons le sommet (je l’avais promis) en un leu plus de 2h., j’irai moins vite la prochaine fois, promis. On ne reste qu’un petit moment, manger et boire un petit quelque chose et on y va, à -25°c on est pas tenté à prendre son temps.
On décide de ne pas s'arrêter à la buvette du sommet non plus et descendons vers les voitures. Dans une belle neige fraîche .
Après la bière traditionnelle, retour vers nos foyers que nous atteignons vers 17h
Une course sympa, merci à tous les participants.






Me 18 jan. 2023
entretien des skis
C’est à l’atelier du ski chez Romain, dans les sous-sols de l’école secondaire de La Neuveville, que nous nous sommes retrouvés. 2 fois 6 candidats, prêts à réparer leurs semelles, affûter des carres et appliquer le fart au fer chaud. Chacun a trouvé sa place de travail équipée d’un set pour fixer les skis, de limes, fart, racloirs et brosses. Dans la bonne humeur, chacun s’est mis au travail, un verre de vin blanc à la main, une lime ou un fer dans l’autre, nous avons redonné un coup de jeune à nos semelles. Et les carres sont prêtes pour affronter les couloirs glacés les plus engagés !
Romain a un atelier bien équipé, il propose des services complets de vos skis, réglages des fixations…
La soirée s’est terminée par une traditionnelle fondue.






Di 15 jan. 2023
Formation avalanche
Cette année la partie théorique a été réalisée vendredi soir alors que les exercices sur le terrain ont eu lieu dimanche sur le terrain.
Cette formule a le mérite de pouvoir aller plus dans les détails pour la théorie car nous n’étions pas pressés par le temps et nous avons perdus moins de temps pour les exercices car les participants avaient déjà assimilés certains maniements des DVA. Les exercices à l’extérieur ont pu être concentrés sur 4h, ce qui était un réel avantage avec la météo de cette année.
C’est une vingtaine de participants qui se sont retrouvés sur la place de parc des Cerisiers alors que midi sonnait à la cloche de l’église de Lignière. La pluie venait de se transformer en neige et c’est dans une ambiance hivernale que nous sommes montés sous la crête. Là quelques bandes d’ancienne neige, juste assez, nous a permis d’entrainer la recherche DVA sur 2 postes. Dans un 3ème poste, l’encordement et les maniements de cordes ont été répétés et entrainés. Après 3 rotations tout le monde avait passé dans chaque poste et c’est bien refroidis que nous sommes redescendus pour boire un verre de vin chaud préparé par ...; merci Pierre!
Merci à tous les responsables de poste, Bertrand, Jean-Marc, Gilles, Timon, Alex, à Gilles et Isabelle pour la préparation de la partie théorique ainsi qu’à tous les participants pour la bonne humeur et la bonne marche des exercices. Nous voilà bien préparés pour cette nouvelle saison qui a déjà commencé sur les chapeaux de roue!

Lu 2 jan. 2023
Cbn Brunet | Les Capucins | Grand Laget
2 janvier, 14 personnes
ON PLANTE LE DÉCORS : aux altitudes moyennes et basses, il y a très peu ou pas de neige. Même au-dessus de 2500 m, les hauteurs de neige sont généralement inférieures aux valeurs moyennes --> CHANGEMENT DE PROGRAMME. Pour éviter de monter - et encore plus grave - redescendre à pieds de la Cabane Brunet, à mon plus grand regret j'y ai annulé notre séjour. De là, et pour trouver de la neige, nous logerons à 2473 m, au centre d’un splendide massif montagneux, sur un col à la frontière entre la Suisse et l’Italie. Et comme l'Hospice du Grand St-Bernard offre un hébergement et des repas communautaires tout au long de l’année... ce sera bon pour nous. RENDEZ-VOUS : 2.1.23 Bourg St Pierre au Bivouac Napoléon 9h pour le café. MATÉRIEL : sac à viande pour la nuit en dortoirs (possible d'en acheter sur place). Nous porterons tout durant les 2 jours, ne ressortez donc pas vos tenues de nouvel an pour les aérer, voyagez léger. POUR LE SKI : peau de phoque avec couteaux, PAS de matos haute montagne. MÉTÉO : lundi neige, soleil et nuages et reneige durant la nuit. Mardi encore un peu de neige le matin, puis soleil et renuages pour arriver à la voiture... Voilà ce qui pourra nous arriver… et une fois l’information donnée il n’y avait plus qu’à réaliser, et c’est ce que nous avons fait avec quelques variantes toujours bienvenues.
C’est par une route couverte de glace que l’on commença notre montée, et c’est avec les couteaux que l’on arriva au sommet de la première pente, équipement assez rarement utilisé à pareille saison. Après une montée à l’ombre on débouche au soleil au haut d’un couloir (Col sans nom vers 2800m) descente raide en supère condition. L’idée de passer par la Pointe de Drône et redescendre sur l’Hospice semble un peu trop optimiste et c’est à mi-distance, sur son arête que l’on prit la direction de la route du col en descendant un magnifique couloir de plusieurs centaines de mètres. Repas choucroute, messe, visite du musée et du trésor… une soirée riche en découvertes dans ce haut lieu de passage millénaire, étape incontournable de la Via Francigena, longue de plus de 3000 km entre Canterbury et Rome dont 215 en Suisse.
3 janvier, 12 personnes
Comme annoncé, les légères précipitations de la nuit ne nous motivent pas à quitter notre logis aux aurores. Sur le coup des 10 heures nous commençons notre ascension en direction du Mt Fourchon. Les repérages des meilleurs champs de neige de la veille nous incitent à modifier notre itinéraire initial, qui était de rejoindre Les Monts Telliers par le Col du Bastillon. Pas trop en avance, nous renonçons à rejoindre le sommet, de belles pentes de poudreuses sous le Pain de Sucre attirent notre attention. Du beau ski, chacun peu faire sa trace dans des pentes vierges… un vrai régal. En remontant jusqu’à la Fenêtre d’en Haut (2722) on poursuit notre ascension à la Tête de Fonteinte (2774) pour tout de même remplir le dernier des 3 critères d’une course réussie… Un sommet, un portage, une boucle !!! Nous voici à 2 descentes et une remontée de la voiture. De la belle neige encore et toujours, une remontée sportive ski au pied dans le couloir pour poursuivre de parfaire sa technique de conversions… une traversée de rivière pour compléter la gamme des expériences et le parking nous sourit déjà. La fondue 1/3, 2/3 au Tivoli à Châtel St-Denis termina ces nombreux jours de ski (2 jours pour certains, 8 pour s’autres…). Et après une nuit dans un dortoir sans ronfleurs, cette journée ne pouvait s’apparenter qu’à du bonheur.








Di 1 jan. 2023
OJ 2023
21 janvier 2023
Magnifique journée de ski au Moléson avec le groupe OJ.
Soleil le magnifique, neige et brouillard l’arès-midi...



Ve 30 déc. 2022
Pte de Barasson|Testa Grisa-Etroubles|Verbier
30 décembre, 7 personnes
Une course prévue jusqu’à la Pointe de Barasson (2962) interrompue par le mauvais temps. Rapport proportionnel donc au nombre de photos. Ce sera 4 lignes quand même…
1) Parcours modifié selon les conditions, 3×3 oblige
2) Trace sauvage pour atteindre le point 2653 des Becs Noirs, la tempête nous renvoie à la maison
3) Heureux couloir de descente saupoudré de bonne neige
4) Arrivée sous la pluie à la voiture. VOILÀ
31 décembre, 8 personnes
Testa grisa (3059). Après la pluie de la nuit on ne se faisait pas beaucoup d'illusions.... et pourtant, que des bonnes surprises et quelle bonne idée que de déjeuner aux aurores. Une belle montée sans traces, une magnifique descente également sans traces et avec en prime de la poudre, somme toute une belle journée. Merci Caroline pour l’idée du rapport.
1er janvier, 6 personnes
Comme une chanson qui se répète, pas un chat à Verbier ce premier matin de la nouvelle année. On a eu mal aux jambes, mais quelle joie de s’être levé tôt.
Après plusieurs télécabines, on arrive au Mt Gelé (3002). Une traversée et le premier portage de la journée pour arrivée à la Pointe de Chassoure (2973). Une traversée engagée suivie d’une descente sur la crête nous mène au départ de « La Banane », joli couloir assez large et encore sans trace. Le programme s’enchaîne au Mont Fort (3329) et l’on bascule sur son côté sud, le fameux Backside. Afin de profiter de la descente, nous remontons une couloir fort heureusement déjà tracé qui débouche sur le Glacier du Petit Mont Fort (3135). Itinéraire magique avec de la belle neige, des pentes faciles et vallonnées. On termine la deuxième descente de la journée en longeant le Lac de Cleuson. L’épopée se termine à Verbier au Happy hour, instant unique pour la station puisque la bière y est proposée à moitié prix…








Ma 27 déc. 2022
3 jours Ski Rando Région Bourg-St-Bernard
Jour 1
Lundi 26 décembre au soir deux éclaireurs annoncent qu’il neige à Bourg-St-Pierre. Vous y croyez, vous ? Gilles en tous cas y croit suffisamment pour motiver une petite équipe qui se retrouve à 9h le lendemain matin pour un café-croissant au Bivouac Napoléon. Magnifique, ce ciel sans nuage ! Mais les pentes à l’altitude de Bourg-Saint-Pierre sont à peine saupoudrées de blanc, inskiables, alors que plus haut le danger d’avalanche est à nouveau marqué… Va falloir composer… Gilles nous propose donc un objectif assez safe, le Col Ouest de Barasson. La Princesse des neiges nous conduit sans encombre au parking-patinoire de Bourg-Saint-Bernard d’où nous découvrons des pentes déjà bien plus blanches… On commence à y croire !
On chausse les skis et on entame la montée par la route du col. A l’Hospitalet, Gilles nous propose de quitter l’autouroute pour un itinéraire Bis, encore moins exposé, via le Plan de Tcholeire. Mais quelle bonne idée ! Qu’est-ce-qu’on est mieux là-haut que dans le trou en bas ! Les traceurs se relayent, et pour cause… c’est qu’il y en a un paquet de cette belle poudre vierge ! Mais combien ? Gilles veut en avoir le cœur net. Il sort la pelle et commence à creuser, creuser, creuser… 1 mètre !... de poudre bien homogène avant d’atteindre la première couche plus dure. Cette fois on y croit vraiment ! On peut déjà se réjouir de la descente !
Arrivés au Col, on profite du panorama mais on ne s’attarde pas trop. Y’a un peu du monde là-haut… même des curieux qui se demandent pourquoi on n’a pas suivi le tracé officiel… Réponse évasive de Gilles… (On voudrait quand-même pas que tout soit tracé quand on revient demain !?)
La descente dans la Combe de Barasson tient ses promesses, poudreuse à souhait ! On en redemande. Mais d’abord pic-nic… en deux actes… ce farceur de soleil jouant à cache-cache derrière le Mont Mort.
Requinqués, on remonte rejoindre notre itinéraire Bis du Plan de Tcholeire. On y est à nouveau tous seuls – ou presque… désolé, Monsieur Lapin, de vous avoir fait si peur ! – et les pentes repérées à l’aller sont toujours encore vierges. Qui aurait parié ce matin qu’on se ferait une telle descente ? Du pur bonheur !
Autour de la traditionnelle bière qui s’en suit, on échange nos impressions et nos photos toutes plus belles les unes que les autres. Mais chut ! Et interdiction de poster ça sur les réseaux sociaux, ça reste entre nous !
Merci Gilles d’y avoir cru malgré les webcams et prévisions peu encourageantes et de nous avoir embarqués pour cette journée cinq étoiles !
Christine
Jour 2
Malgré l’interdiction de divulguer nos géniales photos d’hier, les randonneurs loquaces ont fait des émules et le parking de Bourg-Saint-Bernard regorge de voitures. Peu importe, Gilles nous oriente vers le Col Sud de Menouve. Personne, pas de lapin en vue, seuls les pylônes de la défunte remontée mécanique entachent le paysage. Les ouvreurs se succèdent dans l’ombre et tracent jusqu’au col dans une neige irrégulière, dure, cartonnée.
Récompense au col; l’Italie nous offre soleil et pente jouissive. Nous avalons 400 mètres de dénivelé en courbes magiques, danses élégantes et ski extatique. La jouissance ouvrant l’appétit, les pique-niques sont extraits des sacs à dos et nourrissent les bienheureux dans un décor de rêve. Valérie immortalise les portraits avant la montée sur le Col Sud de Menouve.
Aïe, aïe: la descente sur le Plan de Tcholeire n’est pas à la hauteur du spectacle. Dans une neige successivement dure, cartonnée ou lourde, nous proposons des courbes improbables avec des allures de pantins désarticulés. Qu’importe, nous apprenons l’humilité face à la nature. L’arrivée sur le chemin menant au parking de Bourg-Saint-Bernard s’avère délicate pour le pouce de Gilles qui prend une mauvaise direction.
L’étape suivante nous mène à la bière et chacun peut conter ses exploits illustrés par des photos.
Merci à Gilles des choix judicieux et du reste. Nous te tenons les (le?) pouces.
Jour 3
Col du Gd St Bernard – Grande Chenalette – Champignon
En ce 3ème jour dans la région du St-Bernard, le parking presque vide de l’ancienne station de ski (fermée en 2010) nous rappelle que les prévisions météo ne sont pas terribles. Pourtant, le soleil brille sur les sommets et c’est avec le cœur chaud mais les mains froides que nous attaquons la montée au col. Le large chemin, damé par le passage de centaines de randonneurs à ski, n’oppose aucune résistance et nous permet même de papoter côte à côte. Plus par curiosité que par nécessité, nous nous attablons à l’hospice pour une carafe de tisane bien chaude, qui nous sera finalement offerte par la maison. Valérie tombe sous le charme des lieux, et décide d’y rester pour « s’imprégner d’avantage de l’Esprit Saint ».
Le mont Mort prévu initialement n’étant pas très engageant, nous nous tournons vers la Grande Chenalette, au nord du col. Sa face au soleil nous offre une belle trace, une température printanière et un panorama sur des montagnes plus enneigées que les nôtres. La neige est moins épaisse que l’année passée à la même période, et elle est molle, et c’est comme ça qu’on l’aime pour franchir le petit passage raide qui permet de gravir le sommet.
Pas le temps de pique-niquer, c’est Nico qui mène la cadence. Il n’y a pas non plus vraiment de place pour ça, ni pour la traditionnelle photo de groupe. Et puis, ce que tout le monde veut, c’est attaquer la descente sur la face est, direction « le Champignon ». Et on y trouvera de tout dans cette descente, des bosses, des couloirs, du carton qui casse, du carton qui tient et des taches de poudreuse toute douce.
C’est une Valérie boiteuse mais lumineuse qui nous attend à Bourg St-Bernard. Nous repartons enchantés par l’expérience de ces 3 jours, des images pleins le yeux et le natel. C’était inespéré, et nous remercions Gilles de toujours y croire !







Sa 10 déc. 2022
Sortie vieux skis
Ils étaient tous à l’heure, 7h29 sonnantes : c’est pas parce que j’ai 1 minute d’avance que je suis en retard, non mais sans blague !
Voyage tranquille… mais quelle déception, tous les bistrots et hôtels du Simmental se la jouent ce dimanche matin en Ruhetag. Du coup, petite approche sur la route des locaux jusqu’au bout du déneigement et là : bien heureux ceux qui avaient un 4x4 et les chaines sous les spatules. Quelques 111 minutes plus tard, apéro Biberli ressorti de la boîte et saucisson aux aguets. Pour cette raison, notre ami Pierre, telle une panthère des neiges sous un soleil radieux s’est mis à tracer dans 50 cm de poudreuse et là, nous pouvons vous le dire, c’est métal… quelques rotations plus tard, le sommet est à portée, tout près, comme un prêt-à-porter. Le bonheur est devant nous, première descente de la journée avec et sans peaux, selon les envies. Encore quelques conversions pour ajouter notre deuxième sommet à la Liste. Puis, le dessert sous la forme d’une de pente parfois un peu trop douce mais dans une neige toujours légère et vierge. Et à ce moment-là, imaginez-vous la surprise ? Fritz, adossé à son chalet et déjà présent sur les lieux depuis plusieurs jours nous invite pour un thé ou un café. Top Fritz, quelle hospitalité.
Comme quoi, cette année, la sortie vieux skis s’est convertie en une balade pour jeunes rideuses genre Fat 130 mm au patin… sensations de flottaison exceptionnelles.
Et pour rompre la confidentialité, sachez que si le Niedehorn culmine à 2078 mUM, le Lueglespitz s’affranchi d’un bon 2028. Pour la stat : 1099m, 5h59 et 29 secondes, 14.14 km.








Je 8 déc. 2022
St-Nicolas / Les Prés d'Orvin - chalet Sunneschyn
Record de participation pour la sortie St-Nicolas aux Prés-d’Orvin : 19 clubistes se sont retrouvés au chalet Sunneschyn pour y partager un bon moment de convivialité. Les jeudistes actifs sont montés à pied depuis Orvin et tout le monde s’est retrouvé pour l’apéro sur la terrasse du chalet. Vin chaud et petit blanc ont ravi les papilles alors que les discussions allaient bon train. Pierre a dû remettre plusieurs fois du bois sur le feu avant que chacun amène son morceau de viande à griller.
Bien que le soleil était de la partie, nous avons mangé à l’intérieur où Daisy avait allumé, en début de matinée, un bon feu.
A 15 heures, les marcheurs se sont mis en route pour rejoindre Orvin, les ainés sont repartis en voiture à La Neuveville et les organisatrices de la journée ont remis en ordre le chalet avant de rentrer, elles aussi, dans leurs pénates.
Je crois que chacun a apprécié cette occasion de partager des souvenirs avec les amis qui, pour des raisons de santé, ne peuvent plus participer aux courses des Jeudistes. Nous avons déjà pris rendez-vous pour l’année prochaine. Un grand merci à Pierre, Ariane, Daisy, Martine pour leur collaboration.






